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UGT (Espagne)

Publié le 16/05/2020

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« 1 / 2 UGT (Espagne) 1 Avant même les élections de nouveaux comités d'entre­ prises qui, à la fin de 1977 , permettent aux trois confédé­ rations espagnoles (Union générale des Travailleurs- UGT ; Commissions ouvrières - CO ; Union syndicale ouvrière - USO) de mesurer leur influence respective auprès des salariés , I' UGT est considérée comme la aeconde centrale syndicale de l'Espagne post-franqu iste .

Très liée au Parti socialiste, légalisée au printemps 1977, I' UGT n'a au début pas d'existence légale dans les entreprises, qui lui per­ mette de négocier des conventions collectives avec le patronat.

Les délégués des travailleurs restent, en théorie , ceux qui ont été élus sous le régime franquiste.

2 Avec la Confédération nationale du Travail (anarcho­ syndicaliste et catalane) , I'UGT est aussi la plus ancienne des organisations ouvrières actuelles.

Bien qu 'elle ait été physiquement liquidée au lendemain de la guerre civile (1936-1939) , le reste de ses militants mettent sur pied , à l'extérieur de l' Espagne , toute une organisation de dénon­ ciation du régime fasciste, de format ion et d'appui pour la lutte à l'i ntérieur , ainsi que des iilières d'émigration clan­ destine qui coopèrent avec les CO .

Lors de sa reconstitu­ t ion au grand jour , en 1976, I 'UGT se déclare révolution­ naire et favorable à l'autogestion.

3 La grève générale de novembre 1976, qui répond à l'appel de I'UGT , des CO et de J'USO , oblige Je gouver­ nement à tenir compte des syndicats dans ses projets .

Pour pouvoir appliquer sans trop de heurts son pro­ gramme d'austérité, il légalise les grèves en mars 1977 à condition qu'elles ne soient pas organisées pour des " rai­ sons politiques » ou pour modifier des contrats collectifs toujours en vigueur.

Mais, parallèlement, les employeurs obtiennent le droit de licencier des travailleurs pour des raisons économiques ou disciplinaires .

Pour leur part, les fonctionnaires se voient refuser les libertés syndicales . 2 / 2. »

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