Theatre

« 2012.11.11 Aldérick Nguyen M.

Cadieux FRA-403 Le chef-d’œuvre incontournable : Douze hommes en colères Dans le monde du théâtre, plusieurs pièces variant d’un genre à l’autre sont traduites en une multitude de langues à travers la planète.

Récemment, j’ai eu la chance de faire partie du public du Théâtre Denise-Pelletier à Montréal pour pouvoir apprécier l’une des pièces traduites, l’œuvre magistrale écrite par Reginald Rose, Douze hommes en colères, présenté du 14 novembre au 18 décembre 2012.

La pièce consiste tout simplement de 12 hommes sélectionnés comme jury pour un procès de meurtre, le tout se déroulant dans une salle fermée à clé, mais malgré cette simplicité, on y assiste à un assez grand et épique conflit entre deux parties.

D’abord, j’ai trouvé que la mise en scène était parfaite pour ce genre de théâtre.

Le fait que tout se déroule en une seule petite salle compacte avec 12 hommes me fait ressentir la pression dont chaque acteur éprouve.

Dans les fenêtres, on pouvait voir que la lumière s’assombrissait graduellement, ce qui est, selon moi, un facteur très important dans une pièce de théâtre.

Cela concordait bien avec l’histoire puisqu’au fur et à mesure que cette dernière avançait, la lumière provenant des fenêtres devenait de plus en plus sombre, ce qui créé une atmosphère remplie de tension.

De plus, j’ai adoré le jeu de lumière juste avant la pause.

Les 12 hommes ont entendu un bruit venant de la porte et c’est à ce moment qu’ils se sont tous retournés en même temps et que la lumière de la salle a tout de suite changé en une couleur plus obscure.

Tout cela était accompagné par un bruit soudain qui a bien captivé mon attention.

Durant mon écoute, je me suis attaché à un acteur précis : Jean-Bernard Hebert.

Il n’était pas le plus comique, mais ce qui m’a. »