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SUJET: L'être vivant peut-il être réduit à un mécanisme?

Publié le 18/06/2020

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« Qu'est-ce que la vie? Il y a quelque chose de miraculeux dans le vivant. Comment se fait le passage de la matière inerte à la matière vivante? Est-ce une tendance interne à la matière? Y a-t-il un principe extérieur à celle-ci qui lui insuffle la vie? (un esprit? un élan vital? Dieu?...) Est-ce le produit d'un mécanisme de sélection naturelle des organisations de la matière? (Les virus, cas limite, marquant le passage de la matière inerte au vivant). - Comment connaître le fonctionnement d'un organe sans le séparer de l'organisme dans lequel il est? La difficulté que pose l'étude du vivant, c'est que, par l'étude de ses phénomènes, je modifie l'organisme que j'étudie. À la limite, en voulant l'étudier, je le tue, rendant ainsi impossible son étude en tant qu'être vivant. (Paradoxe de la dissection). - L'organisme peut-il être réduit à un mécanisme? Est-ce simplement un mécanisme plus complexe que les mécanismes artificiels, ou bien y a-t-il des différences essentielles de fonctionnement entre ceux-ci et l'organisme? ...»

« Définition élémentaire Le vivant est l'ensemble des êtres qui ont en eux, en vertu de l'organisation par­ ticuli�G- de leurs éléments, un principe de croissance, liée à des échanges avec le milieu extérieur, et susceptibles de se reproduire.

Étymologie Du latin vivere, «vivre», vita, «vie».

En grec, distinguer la racine zoè, « le phé­ nom�?- de vie», d'où zoon, « être vivant», « animal» et bios, « la vie», au sens ae mani�G- de vivre, mani�G- de se comporter.

Distinctions -La vie s'oppose à la mort.

Mais il faut remarquer que «mourir» est quelque chose qui ne peut arriver qu'aux vivants. - Le vivant s'oppose donc de mani�G- plus radicale à la mati�G- inerte, matière sans mouvement. - Il faut distinguer organisme et mécanisme: un mécani.sme est fait de pi�*-s disjointes dont l'articulation conditionne le mouvement de l'ensemble, tandis que dans un organisme, les éléments (organes) sont dans une relation d'inter­ dépendance et d'interrégulation qui semble subordonnée au fonctionnement de l'organisme pris comme un tout [voir repère« mécanisme/finalisme»]. Problèmes/ paradoxes - Qu'est-ce que la vie? Il y a quelque chose de miraculeux dans le vivant. Comment se fait le passage de la mati�G- inerte à la mati�G- vivante? Est-ce une tendance interne à la mati�G- Y a-t-il un principe extérieur à celle-ci qui lui insuffle la vie? (un esprit? un élan vital? Dieu? ...

) Est-ce le produit d'un méca­ nisme de sélection naturelle des organisations de la mati�G- (Les virus, cas limite, marquant le passage de la mati�G- inerte au vivant). - Comment connaître le fonctionnement d'un organe sans le séparer de l'orga­ nisme dans lequel il est? La difficulté que pose l'étude du vivant, c'est que, par l'étude de ses phénom�?-I je modifie l'organisme que j'étudie.

À la limite, en voulant l'étudier, je le tue, rendant ainsi impossible son étude en tant qu'être vivant.

(Paradoxe de la dissection). - L'organisme peut-il être réduit à un mécanisme? Est-ce simplement un méca­ nisme plus complexe que les mécanismes artificiels, ou bien y �-t-il des diffé­ rences essentielles de fonctionnement entre ceux-ci et l'organisme?1 ' •. »

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