Résumé par chapitre d'une si longue lettre
Publié le 14/03/2024
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«
Une si longue lettre: Mariama BA
3e E
RESUME DES CHAPITRES : 15 à 21
GROUPE 3
Nom des exposants : Cheikh A.
Ndiaye
Pape I.
Fall
Mame Fallou Mbacké Diagne
Serigne Fallou Dioum
Seydina Omar Ka
Elhadji Moussa Ben Ibrahima Gueye
Maimouna Diop
Pape Blondin Diop
Fallou Ndiaye
Mamadou Kandé
Anta Ndiaye
Mame Ndiaye
Aminata Ndiaye
Ousseynou Badiane Diop
Baye M.
Djitté
Aissatou Ngom
PLAN
Introduction
I.
Biographie
II.
Bibliographie
III.
Etude des personnages
IV.
Résumé des chapitres et
explication détaillée
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
GROUPE 3 : GSDM
Conclusion
INTRODUCTION
Dès sa parution, le roman de Mariama Ba,
« Une si longue lettre » a été reçu comme un
texte majeur de la littérature africaine par la
qualité de son style et l'acuité des thèmes
abordés.
Ramatoulaye, une femme obligée
d’observer le deuil de son mari, met à profit
sa quarantaine pour faire le bilan de sa vie en
s’adressant dans une lettre à Aïssatou, son
amie de cœur.
Au fil de son récit, les
souvenirs de ses années conjugales succèdent
à ceux de sa jeunesse, avant le temps de la
solitude, quand son époux se détourne d’elle
pour prendre une seconde femme.
D’emblée le ton posé, la justesse des mots,
captivent...
Le roman est composé de 27
chapitres mais nous allons nous intéresser
aux chapitres 15 à 21 dont nous ferons les
résumés mais avant tout nous mettrons en
exergue la vie de l’auteure et ses œuvres.
I.
BIOGRAPHIE
Née en 1929 à Dakar, elle est confiée très jeune à ses grands-parents
qui lui transmettent des valeurs traditionnelles et l’élèvent dans la foi
musulmane.
Son père, un fonctionnaire passé par l’école coloniale,
insiste pour que sa fille soit scolarisée.
Mariama poursuit ses études en intégrant par concours la fameuse
GROUPE 3 : GSDM
Ecole normale de Rufisque, établissement fondé en 1938, où des jeunes filles de toute
l’Afrique occidentale française (AOF) se forment au métier d’enseignante.
Dans le cadre
rigoureux de l’internat, la jeune fille lit et se met à écrire avec passion.
Elle a 18 ans en 1947, lorsque l’une de ses compositions relatant son enfance, remarquée,
paraît dans la revue française « Esprit ».
Le texte, cité par Maurice Genevoix, lui vaut un
début de célébrité.
Devenue professeure, Mariama Bâ milite parallèlement à son
enseignement.
Venue au monde dans un Sénégal sous emprise coloniale, elle veut profiter
de l’espoir des années de l’indépendance.
Mais dans ce contexte de libération et de construction
de nouvelles sociétés, les femmes se retrouvent au
second plan, à l’arrière des hommes et des pères
fondateurs.
Mariama Bâ a toujours refusé cette
marginalisation.
Elle enseigna ensuite dans une école du
quartier de la Médina à Dakar, à l’école
Faidherbe, puis elle a été affectée au service
d’inspection de l’enseignement à partir de
1959.
De la fin des années 1960 jusqu’à sa
mort, elle milita dans des associations de
femmes (membre de la Fédération des
associations féminines du Sénégal (FAFS),
fondatrice et présidente du Cercle Fémina,
Secrétaire générale du Club soroptimiste de
Dakar).
Elle fut membre de l’amicale des
Goffiennes, du nom de la première directrice
de l’école normale de filles.
Disparue le 17 août 1981, à Dakar, à 52 ans,
des suites d’un cancer du poumon, Mariama
BA, une écrivaine intelligente, talentueuse et
douée, une fierté pour le Sénégal et l’Afrique,
nous laisse le goût amer d’une carrière
inachevée.
II.
BIBLIOGRAPHIE
« Aïssatou, j’ai reçu ton mot.
En guise de réponse j’ouvre ce cahier, point d’appui dans mon désarroi : notre
longue pratique m’a enseigné que la confidence noie la douleur.
» C’est
par ces mots, tels un
murmure, que débute le premier roman de l’écrivaine sénégalaise Mariama Bâ.
GROUPE 3 : GSDM
Une si longue lettre, paru en 1979 à Dakar aux Nouvelles Editions Africaines est
devenu, le roman épistolaire le plus célèbre du continent africain.
Plusieurs fois
réédité en France (éd.
Le Serpent à Plumes), traduit dans de nombreux pays,
l’ouvrage a acquis un statut de « classique », parachevé par son inscription sur la
liste des 100 meilleurs livres africains du XXe (20e)siècle.
En nous plongeant
dans l’intimité de la narratrice, ses joies, ses souffrances et ses frustrations, la
romancière questionne la condition féminine : les codes régissant les relations
avec les hommes, l’importance des castes et, surtout, la polygamie.
En évoquant
ainsi la société sénégalaise, c’est plus largement à l’émancipation féminine que
Mariama Bâ fait écho, en cette fin des années 1970 où les revendications des
femmes se font plus que jamais entendre à travers le monde.
Un chant écarlate, son deuxième
roman, est d’autant plus
poignant.
Il a été publié à titre
posthume en 1981.
Mariama Bâ
a écrit un roman poignant, tant
par la force et la prégnance des
thèmes exploités, mais aussi par
l’avance sur son temps dont ce
livre a fait preuve.
Elle aborde la
complexité de l’amour sous un
angle assez intéressant pour
mériter que l’on s’y attarde.
A
travers le couple formé par
Ousmane et Mireille, elle met en
lumière cette femme qui, grisée
par l’amour, n’hésitera pas à tout
envoyer promener pour suivre
Ousmane, quant
à lui, titillé
modernité
Ousmane
dansentre
son sa
pays.
Sans se et
son envie de nedouter
point que
renier
milieu d’origine,
lesson
différences
choisira celui –idéologiques
ci et sous couvert
lâcheté,
aurontderaison
sur
n’hésitera pas àlesoublier
tout ce
qu’ils’étaient
s’était promis
promesses
qu’ils
de ne pas faire.faits.
Et trompera sans sourciller et
enverra valser tout ce en quoi il croyait …
Ramatoulaye-la narratrice : elle a une cinquantaine d'années et douze enfants;
éduquée, professeure; première épouse de Modou Fall et habite la villa Faleen.
Aïssatou-la meilleure amie de Ramatoulaye : la destinataire de la lettre, issue d'une
famille ouvrière, de la caste des bijoutiers,elle a fait une formation pour devenir
professeure.
Elle est l’épouse de Mawdo Bâ ; après son divorce de Mawdo, devenue
interprète, elle est allée aux États-Unis avec ses fils.
GROUPE 3 : GSDM
Modou Fall : deux fois bachelier, licencié en droit (en France); avocat des syndicats
puis fonctionnaire important au gouvernement; meilleur ami de Mawdo Bâ; marié à
Ramatoulaye et puis à Binetou; mort d'une crise cardiaque au commencement de la
correspondance.
Mawdo Bâ : médecin ; meilleur ami de Modou Fall, marié et divorcé d'Aïssatou;
marié à la petite Nabou
Tante Nabou : la mère de Mawdo Ba.
L’opulente belle-mère : la mère de Modou
Binetou : copine de Daba; issue d'une famille
pauvre est la deuxième épouse de Modou Fall;
elle habite la villa SICAP avec sa mère Dame
belle-mère qui a fait le pèlerinage (Hadj) avec
son mari grâce à son beau-fils Modou.
La petite Nabou: élevée et éduquée par la
Tante Nabou; deuxième femme de Mawdo.
Dame belle-mère : Mère de Binetou
Daba Fall : la fille aînée de Ramatoulaye, était
amie avec Binetou.
Abou : le mari de Daba
Mawdo Fall : Fils de Ramatoulaye, homonyme
de Mawdo Ba
Tamsir Fall : le frère aîné de Modou
Dame belle-mère : Mère de Binetou
Daba Fall : la fille aînée de Ramatoulaye, était
amie avec Binetou.
Ousmane Fall : fils de Ramatoulaye présent
lors de la visite Daouda Dieng
Daouda Dieng : avocat et Député à l'assemblée Nationale; a demandé la main
de Ramatoulaye, il fut le prétendant préféré de la mère de Ramatoulaye.
Aminata : épouse de Daouda Dieng
Farmata-la griotte; voisine de Ramatoulaye
GROUPE 3 : GSDM
L’Imam de la mosquée : a annoncé le mariage entre Modou et Binetou et était
présent lors de la cérémonie du 40é jour
IV.
RESUME DES
CHAPITRES ET
EXPLICATION
DETAILLEE
Le chapitres 15 à 17 constituent
les péripéties de Ramatoulaye, ses
problèmes pour gérer sa famille,
gérer ses 12 enfants après
l’arrivée....
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