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la femme africaine dans une si longue lettre de mariama ba

Publié le 04/03/2022

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« LA FEMME AFRICAINE DANS UNE SI LONGUE LETTRE INTRODUCTION Dans un contexte où l’écriture masculine prévalait, il y avait une volonté de la part de l’auteur de prendre en charge la cause des femmes et de faire valoir l’écriture féminine.

C’est un roman féministe écrit par une femme qui réagit par rapport aux conditions de ses sœurs victimes des traditions et de la domination des hommes.

Avec Une si longue lettre, Mariama Bâ est l’une des premières africaines à dénoncer les injustices faites aux femmes dans la société.

Nous verrons donc dans ce roman, la condition de la femme telle qu’elle est décriée par l’auteur.

Dans un premier temps, nous verrons la critique que fait Mariama Bâ à l’égard de la société, dans un second la condition féminine et enfin l’attitude des femmes dans ce roman.

I.

LES ELEMENTS CONSTITUTIFG DE LA CONDITION FEMININE Dans la soc i ét é traditionnelle africaine, il y a plusieurs éléments qui constituent un poids, et des entr a ves pour la con di ti o n f émi ni ne.

En effet, la f emm e est pl acée dans un espace fermé dans lequel, elle doit nécessairement évoluer.

Dans ce "huis-c los", les femmes apparaissent toutes marquées à des degrés divers, par l’aliénation, la dépendance à l’égard de la tradition et la frustration. a.

L’INFERIORITE DE LA FEMME Depui s l es or igi nes, l a fem me est consi dérée com me l e sexe f aible.

Ell e n’a aucun rôl e à j ouer si el le n’assume les rôles secondaires.

Ainsi dans les assemblées, elles étaient reléguées au second rang et n’assistaient pas aux prises de décision.

Donc, on peut dire qu’elle : devait seul e ment se m ar ier, travail ler d’ar rache pi ed au foyer et pr ocréer sans pour autant demander la raison b.

LES CHATIMENTS ET LES BRIMADES Ils étaient le lot quotidien des femmes.

Elles subissaient tous les sévices.

Quand la femme disait un mot plus haut que l’autre, le mari pouvait la corriger, la battre, sans aucune forme de procès .. »

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