Databac

Résumé: Nouvelles de PROSPER MÉRIMÉE

Publié le 09/12/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Résumé: Nouvelles de PROSPER MÉRIMÉE. Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature Avocat parisien, Prosper Mérimée (1803-1870) y débute dans les lettres par une mystification. Il donne comme traduit d'une comédienne espagnole le Théâtre de Clara Gazul (1825). Nommé inspecteur des monuments historiques, il a l'occasion pendant dix-huit ans de voyager. C'est au cours d'une mission archéologique en Corse qu'il en étudie les coutumes locales. Il avait effectué son premier voyage en Espagne en 1830. 1829, Mosaïque. 1840, Colomba. 1833, La double méprise. 1844. Arsène Guillot. 1834, Les Ames du purgatoire. 1845, Carmen. 1837, La Vénus d'Ille. 1846, L'Abbé Aubain. 1869, Lokis.

« Nouvelles de PROSPER MÉRIMÉE Avocat parisien, Prosper Mérimée (1803-1870) y débute dans les lettres par une mystification.

Il donne commetraduit d'une comédienne espagnole le Théâtre de Clara Gazul (1825).

Nommé inspecteur des monumentshistoriques, il a l'occasion pendant dix-huit ans de voyager.

C'est au cours d'une mission archéologique en Corse qu'ilen étudie les coutumes locales.

Il avait effectué son premier voyage en Espagne en 1830.1829, Mosaïque.1840, Colomba.1833, La double méprise.1844.

Arsène Guillot.1834, Les Ames du purgatoire.1845, Carmen.1837, La Vénus d'Ille.1846, L'Abbé Aubain.1869, Lokis. Mateo Falcone : un propriétaire corse, Mateo, abat d'un coup de fusil son fils Fortunato, âgé de dix ans, parce quel'enfant, tenté par une montre en argent que lui offre un adjudant, a indiqué aux carabiniers la cachette d'un banditréfugié chez son père : « Sans jeter un coup d'oeil sur le cadavre, Mateo reprit le chemin de la maison pour allerchercher une bêche afin d'enterrer son fils » (1, p.

33).L'Enlèvement de la redoute : un lieutenant nouvellement promu participe à la prise d'une redoute russe qui estenlevée de vive force au prix d'un effroyable massacre ; à l'issue du combat, il assure le commandement, le colonelétant grièvement blessé: « F..., mon cher, mais la redoute est prise » (p.

48).Le Vase étrusque: Auguste Saint-Clair, sur le point d'épouser une veuve, Mme de Coursy, apprend qu'elle aurait eu,du vivant de son mari, un amant, et qu'un vase étrusque qu'elle aurait reçu de lui en apportait la preuve.

L'objet,que Saint-Clair a vu, semble accuser Mme de Coursy.

Elle se disculpe en brisant le vase devant lui.

Trop tard !Saint-Clair a déjà provoqué en duel l'accusateur qui le tue.La Vénus d'Ille : un amateur d'antiquités a découvert dans son jardin, à Ille, une Vénus antique de bronze.

Son fils,le lendemain, jour de son mariage, glisse au doigt de la statue, parce qu'il va jouer à la pelote basque, une bague endiamants qu'il destine à sa fiancée.

Mais il ne peut ensuite retirer l'anneau : la Vénus plie le doigt ! Au matin, on leretrouve mort dans la chambre nuptiale : « On eût dit qu'il avait été étreint par un cercle de fer » (p.

309).

Et sajeune femme devient folle : « Du bizarre au merveilleux la transition est insensible et le lecteur se trouve en pleinfantastique avant qu'il se soit aperçu que le monde réel est bien loin derrière lui» (Nicolas Gogol, 1851).Colombe : Colomba oblige son frère Orso à venger leur père selon les vieilles lois corses de la vendetta.

Attaqué parles deux frères Barricini, meurtriers présumés, Orso les tue, prend le maquis, mais est disculpé : « Il me les fallaittous les deux », dit Colomba au père Barricini.

« Les rameaux sont coupés ; et si la souche n'était pas pourrie, jel'eusse arrachée » (p.

479):Carmen : un brigadier basque, Don José, déserte pour l'amour d'une bohémienne, Carmen.

Il se fait contrebandier,brigand, assassin.

Mais affolé de voir qu'elle s'est éprise d'un picador, Lucas, il la tue dans une crise de jalousie.Lokis : une comtesse lituanienne a eu le malheur d'être emportée par un ours au cours d'une chasse.

Sauvée parson mari, elle est devenue folle ; mais elle donne naissance à un garçon charmant, quoique bizarre.

En effet, le jourde ses noces, il dévore à moitié sa jeune femme...• L'art de la nouvelle : Mérimée y excelle et porte le genre à son apogée.

C'est à la fois un modèle de concision etde sobriété.

L'économie des moyens et la limpidité du style n'excluent pas la violence des passions, la vigueur de lacouleur locale ou le trouble du surnaturel.

Le jeu de l'amour et de la mort, dans Carmen, est d'autant plus intense,d'autant plus vrai, que le tragique des passions est enfermé à l'étroit.

L'histoire de Mateo Falcone paraît d'autantplus atroce que Mérimée reste détaché de son sujet.

Ces contes farouches et ces vengeances obstinées sont''oeuvre d'un homme désenchanté et amer.

Personne n'a atteint plus d'intensité dans la rigueur. Opéra : Georges Bizet, Carmen, 1875. Cinéma : Christian-Jaque, Carmen, 1944.

Carlos Saura, Carmen, 1983. Comédie musicale : Carmen Jones,1954.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles