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Résumé l'architecturedu bonheur chapitre 3 et 4

Publié le 18/09/2022

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« L’ARCHITECTURE DU BONHEUR Chapitre 3 Les bâtiments et les objets sont déterminés aux premiers abords par leur caractère fonctionnel, on ne va pas chercher réellement plus loin que ce que l’objet propose comme fonction.

Cependant lorsqu’on s’éloigne de cet aspect fonctionnaliste et qu’on s’ouvre plus au caractère formel, celui-ci peut procurer à l’homme une certaine émotion : un bâtiment qui nous plaît nous parle.

Selon de Botton l’art abstrait, très critiquer, laisse entrevoir en réalité une quantité d’émotions et de pensées exprimés à travers ces objets non figuratifs, comme l’on pourrait retrouver au sein de portraits humain ou d’animaux.

Les sculptures abstraites malgré ces représentation non figuratives laisse émaner des thèmes importants de notre vie.

Ainsi la fonction n’est pas le seul caractère de ces objets, mais ils sont également le reflet de nos désirs, de nos convoitises… Un nouveau regard né donc de cette réflexion, il ne s’agit plus seulement de voir l’objet dans sa fonction mais de lire en lui et d’en comprendre des sens abstraits se rapportant à des thèmes de notre vie.

Selon de Botton, l’homme perçoit aisément des formes humaines dans les sculptures abstraites ce qui lui procure plus facilement de l’émotion.

Il identifie tout d’abord une forme d’anthropomorphisation des objets rendant leur lecture plus agréable et plus sensible.

C’est une forme d’apposition de notre vie et de nos pensées sur les sculptures.

Les objets parlent au travers d’une analogie, ou nous allons chercher à mettre l’éthique d’une caractéristique humaine dans le but de retrouver se caractère anthropomorphique qui ne semble pas découler instinctivement de certaines sculptures. Enfin certaines formes abstraites nous remémorent des formes similaires déjà vue auparavant Ainsi les bâtiments et objets communiques par ces associations d’idée et font écho à des émotions déjà perçut.

On peut donc dire que l’objet ou bâtiment qualifié d’abstrait est ici une incarnation de nos idéaux personnels dans un support matériel Chapitre 4 Selon l’auteur, la sensibilité à notre environnement dépendrait de différentes parts de notre personnalité.

À ce titre, l’environnement permettrait une découverte de soi en ce qu’il incarne des valeurs ou des sentiments qu’il nous invite à cultiver et qui nous renvoient à une vision plus désirable de nous-même, et de compenser notre vulnérabilité.

On peut donc, de ce fait, considérer que l’environnement, et plus particulièrement le beau, évoquent des aspects du bonheur. C’est à ce titre que l’auteur définit la notion de « chez soi ».

Il s’agirait d’un lieu, qui n’est pas nécessairement un lieu de résidence, avec lequel nous nous sentirions en harmonie. Les grandes religions monothéistes semblent avoir joué un rôle important dans la reconnaissance de l’importance de l’environnement, en ce qui concerne le développement personnel.

La conception religieuse de l’importance de l’environnement veut que le développement de l’individu passe par le développement de sa foi.

En effet, le lieu dans lequel on se trouve déterminerait, selon l’auteur, ce à quoi on peut croire ; l’environnement serait même ce qui détermine les vérités en soi, et aurait le pouvoir de nous rendre moralement et spirituellement meilleurs. Les édifices chrétiens et islamiques ont été conçus pour transmettre la foi à leurs fidèles.

La force de ces environnements passe d’abord par le contraste entre la simplicité de la vie quotidienne et la beauté du lieu de culte.

Ensuite, cette force passerait par une meilleure compréhension de dieu par ses fidèles, puisqu’ils auraient le pouvoir d’observer la beauté de l’œuvre architecturale de Dieu.

L’architecture serait donc l’expression du bien, si elle reflète une image pieuse, ou potentiellement du mal, dans un domaine nonverbal qui permettait de toucher une plus grande partie de.... »

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