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Résumé de L’UTILITARISME de John Stuart MILL

Publié le 01/12/2023

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« Résumé de L’UTILITARISME (1861) de John Stuart MILL (1806 - 1873). Pour John Stuart MILL fondement de la morale est l’utilité aussi appelé principe du plus grand bonheur, c’est à dire que les actions sont bonnes en proportion du bonheur qu’elles donnent, et mauvaises si elles tendent à produire le contraire du bonheur, quand on parle du bonheur on entend plaisir ou absence de souffrance, à l’inverse par malheur, souffrance et absence de bonheur.

: Les seules fins désirables sont celles résultant de l’absence de souffrance, inséparables du plaisir. Mais, contrairement à Epicure, il ne pense pas que le bonheur soit atteignable uniquement via la satisfaction des besoins vitaux, car l’humain n’est pas un animal, il pense que les plaisirs de l’intelligence, de l’imagination et du sens moral ont une valeur plus grande que le plaisirs que ceux du corps.

Il affirme que ceux qui connaissent et apprécient deux sortes de manière de vivre donneront une préférence marquée à celle qui emploiera leurs facultés les plus élevées.

Il pense que les animaux sont inférieurs à l’humain et que aucun Homme intelligent et instruit ne consentirait à devenir une bête imbécile, ignorante, égoïste et faisant preuve de bassesse.

Il pense que si une personne souhaite faire un pareil échange c’est soit car elle est déjà les adjectifs utilisés juste au dessus soit pour échapper à ce malheur extrême, alors ces personnes consentiraient à échanger leur lot contre n’importe quel autre, fût-il peu désirable à leurs yeux.

Il dis cependant que un être doué de facultés élevées demande plus pour être heureux et souffre probablement plus profondément, mais malgré tout, il ne pourra jamais réellement désirer tomber dans une existence inférieure, notamment à cause de son orgueil, qui se définis par les meilleurs sentiment ainsi que les plus mauvais de l’humanité et ce sans distinction.

Les stoïques, ces êtres définis par une fermeté inébranlable et une impassibilité à la douleur et au malheur l’attribuent à l’amour du pouvoir ; au sentiment de la dignité personnelle que possède toute créature humaine.Il dit aussi que l’utilitarisme n’atteindra donc son but que lorsqu’on cultivera généralement la noblesse de caractère car un homme noble d’esprit, ne pourrait se satisfaire du son bonheur ainsi que de sa noblesse uniquement mais que pour lui le plus grand bonheur est le bonheur des autres êtres humains et que le monde ne gagne avec lui.

La fin suprême est donc une existence avec le moins de souffrances possible, aussi riche que possible en jouissances réunissant la quantité et la qualité.

Le but de la vie humaine est donc suivant l’utilitarisme, d’assurer autant que possible, à toute l’humanité une existence similaire à celle décrite au dessus, mais aussi, autant que le permet la nature des choses, à toute la création sentante, c’est à dire à toute créature capable d’éprouver du plaisir et de la douleur. L’utilitarisme n’est donc pas uniquement la poursuite du bonheur, mais aussi la préservation ou l’adoucissement du malheur.

Il dit aussi que quand on affirme que la vie humaine ne peut pas être heureuse, on prolifère peux être pas un mensonge mais au moins une exagération, bien sur, si on entend par bonheur des plaisirs élevés en continu, il est.... »

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