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République de Platon 514 a à 521b: livre VII - Allégorie de la Caverne

Publié le 15/05/2020

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« République de Platon 514 a à 521b: livre VII - Allégorie de la Caverne Situation : la connaissance de la science du bien est seule en mesure de rendre apte les philosophes à gouverner la cité.

Socrate aexpliqué que le Bon en soi est ce par quoi il ya connaissance et vérité, incapable de parler directement du bon en soi, il s’est d’abordtourné vers le rejeton du bon le soleil le soleil est pour le visible ce que l’esprit est pour les étants intelligibles.

A la fin du livre VIPlaton compare les différents degrés du sensible et de l’intelligible à une ligne droite segmentée le paradigme de la ligne permet decomprendre ce qu’est le bien. Idée générale : Platon décrit de manière allégorique les différentes étapes qui marquent la montée du philosophe vers la sagessesuprême, la science du bien Plan : 514 a à fin517 a « si absolument dit il » mise en place de l’allégorie de la caverne517 b à 519 c « eh bien cette image »à c’est vrai dit il le sens de l’allégorie les analogies à comprendre du visible à l’intelligible.

Etévocation de l’art du retournement dont doit faire preuve l’être humain sil veut accéder à la science du bien519c à 521b c’est donc notre tache à c’est tout à fait vrai dit il.

Il faut forcer le philosophe à redescendre dans la caverne et à diriger lacité. 1 Présentation de l’allégorie Socrate invite Glaucon à imaginer le tableau suivant : des prisonniers enchainés au fond d’une caverne le corps et la tête immobiliséspar des chaines regardent défiler des ombres sur la paroi de la caverne qu’ils ont devant les yeux tout en percevant des échos de voix.Ces ombres viennent de figurines en bois et en pierre représentant des hommes des animaux portées au dessus d’un mur par desmachinistes, comme des « montreurs de marionnettes » d’après l’expression de Socrate.

Les échos ce sont ceux les voix desmachinistes.

En retrait loin sur une hauteur mais à l’intérieur de la caverne, un feu brille sa lumière éclaire les figurines et passant audessus du mur projette ainsi leur ombre sur la paroi du fond de la caverne.On libère un des prisonniers il peut se retourner regarder les figurines dont il n’avait vu que les ombres mais dont la clarté à présentl’éblouit.

On le traine jusque devant le feu dont l’éclat l’éblouit plus encore.

Son premier mouvement est de trouver les ombres qu’ilvoyait auparavant plus distinctes que les figurines et que la lumière du feu.

Fin 515 D « ne crois tu pas qu’il serait capable de répondreet qu’il penserait que les choses qu’il voyait auparavant étaient plus vraies que celle qu’on lui montre à présent ?»On emmène le prisonnier jusqu’à l’entrée de la caverne qui est ouverte à la lumière du jour on le sort de la caverne.

On le force mêmedit Socrate cette montée est souffrance.

Incapable de supporter la vue du jour, il regarde d’abord l’ombre des plantes des animaux desêtres vivants sur le sol ainsi que leur reflet dans les eaux, avant de lever progressivement en s’habituant peu à peu à la lumière lesyeux vers les êtres qui l’entourent et enfin vers le soleil lui-même.Le prisonnier qui a contemplé de telles merveilles ne consent pas aisément à revenir dans la caverne.516 D il préférerait de beaucoup comme dans la formule d’Homère étant aide laboureur être aux gages d’un autre homme un sansterre.

Cad qu’il préfère subir tt au monde depuis qu’il est éclairé par le bien plutôt que d’accéder au pouvoir et vivre dans l’erreurplutôt que d’accepter de sen remettre à l’opinons, aux fausses connaissances de ceux à qui ont confie le pouvoir car ils donnentl’illusion du savoir et de ce qui est le mieux pour la cité.

Quand il redescend, ses yeux encore inondés de la lumière du jour et du soleilsont incapables de discerner les choses et les êtres qui peuplent la caverne.

Il est du fait de sa maladresse objet de la risée de sescompagnons enchainés.

» Quant à celui qui entreprendrait de les détacher et de les conduire en haut sils avaient le pouvoir des’emparer de lui de quelque façon et de le tuer ne le tuerait ils point » 517 a face à tous ces être non éclairé par la lumière, par le bienle philosophe semble déficient, le peuple ici les esclaves enchainés se croient dans le vrai ils croient vivre de la meilleure façon cer ilsont en nombre supérieur à le penser nvlle difficulté du philosophe âpres avoir atteint le bon est de convaincre. 2.

Sens de l’allégorie et art du retournement La caverne figure notre enchainement au sensible.

La montée vers le jour figure l’ascension de l’âme vers l’intelligible.

Le feu quiéclaire la caverne figure le soleil visible qui éclaire notre monde et le soleil qui illumine le monde du jour figure le bien qui est la sourcede tout ce qu’il ya de lumineux dans l’intelligible comme dans le sensible et dont la contemplation assure la sagesse.

Une fois que l’on avu la forme du bien on doit conclure que c’est elle qui constitue tout ce qui est droit et beau cela est une évidence pour celui qui sait quia fait l’effort de se hisser jusqu’à la vérité.

La lumière, le bien suprême est ce que doit voir celui qui veut agir de manière censée.Deux sortes de troubleL’art de mettre en œuvre le détournement 518 D l’éducation ne doit pas consister à inculquer tout un savoir superficiel extérieur et quin’appartient pas à l’âme qui ne peut constituer une de ses vertus.

Elle doit tourner l’intelligence vers ce qui est essentiel vers lesessences vers l’être cad vers la science que possède l’âme mais qui est mal orientéeDétournement du sensible et de l’opinion et un retournement vers l’intelligible ce n’est pas seulement les yeux qui se retournent maisun mouvement complet du corps ou de l’âme tous possède la faculté de voir mais ne sont pas correctement orienté.

Exemple lesméchants habiles leurs âme médiocre possède une vue perçante et distingue avec acuité ce vers quoi elle est orientée. 3 le philosophe doit diriger la cité et enseigner aux ignorants. Cette allégorie représente les différentes étapes de l’éducation et de la progression du philosophe jusqu’à la science du bien.

Ce n’estque parvenu à ce terme qu’il devra éclairer de sa sagesse la conduite des hommes et prendre en main le gouvernement de la cité.

Caron le forcera à redescendre dans la caverne.

Une fois qu’il se sera de nouveau habitué à l’obscurité il sera plus à même de reconnaitreles véritables modèles des images et des ombres qu’on y voit passer et ainsi instaurer un modèle de cité parfaite et non une ombre decité dans laquelle les hommes se battent pour des ombres.Il n’est pas possible que les philosophes refusent de redescendre car c’est une chose juste qui est demandé à des êtres justesCelui qui est au pouvoir d’une cité Bonne ne doit pas etreau pouvoir en vue de la possession du pouvoir il est désintéressé il est aupouvoir en vue de la contemplation du bien.. »

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