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Quelques arguments soutenant une origine bactérienne des chloroplastes et des mitochondries (doc. 1à 5)

Publié le 30/01/2022

Extrait du document

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« Quelques arguments soutenant une origine bactérienne des chloroplastes et des mitochondries (doc.

1 à 5) : - Les mitochondries se divisent comme des bactéries de façon indépendante de la cellule eucaryote qui les contient (doc.

2). - Les mitochondries et les chloroplastes possèdent deux membranes, contrairement aux autres organites, ce qui suggère que la membrane externe est une membrane de la cellule eucaryote entourant la bactérie (doc.

1). - Les membranes des mitochondries et des chloroplastes possèdent des lipides typiquement bactériens (doc. 3). - La transcription et la traduction des gènes sont simultanées comme les bactéries (doc.

3). - Les mitochondries et les chloroplastes ont leur propre génome sous forme d’ADN et leurs propres ribosomes (doc.

3). - Les ribosomes des mitochondries et des chloroplastes sont de type bactérien (doc.

3). - Les séquences génétiques des mitochondries et des chloroplastes sont apparentés à celle des bactéries (anagène). - division des mitochondrie par mitose est semblable a la division bactérienne par sissiparité (doc 2) - doc 5 : l’analyse de parenté des trois génomes du maïs (le génome nucléaire, le génome mitochondrial et le génome chloroplastique), illustre le caractère mélangé des cellules eucaryotes (végétales en l’occurrence)→ la contribution génétique bactérienne importante résultant des phénomènes d’endosymbiose.

- Larguments soutenant l’origine bactérienne des mitochondries et chloroplastes : l’autonomie de reproduction des mitochondries (document 2), l’existence d’une double membrane (documents 2 et 3), les caractéristiques biochimiques des lipides (document 3), les mécanismes d’expression des gènes de type bactérien (document 3) et l’organisation du génome.

Une grande partie des gènes des bactéries dont elles sont issues ont été perdue par les organites au cours de leur histoire avec la cellule eucaryote hôte.

Le document 6 illustre ce transfert horizontal intracellulaire. Notons qu’avec ce document, il n’est pas possible de savoir si les gènes ont été définitivement perdus ou transférés vers le noyau.

En revanche, le document 7, avec l’exemple du chloroplaste, montre qu’une part très importante (> 90 %) des gènes bactériens d’origine ont été transférés vers le noyau.

On peut donc interpréter l’important transfert posttraductionnel de protéines exprimées à partir du génome nucléaire (2300 protéines) comme étant une conséquence du transfert génétique horizontal.

Les chloroplastes récupèrent les protéines nécessaires à leur fonctionnement exprimées à partir de gènes qui ont été transférés vers le noyau.

doc 8 et9 -cyanobactérie et le chloroplastes des thylakoides portant des phycolibilisomes( Un phycobilisome est une structure formée de grands complexes protéiques, les phycobiliprotéines , située à la surface des thylakoïdes des cyanobactéries , des algues rouges, glaucophycées et cyanelles qui l'utilise dans la photosynthèse .) -La taille des mitochondries et des chloroplastes est semblable à celle des bactéries (≈ 1 μm).

De plus ils possèdent un adn ciculaire nu et des ribosomes doc 7 : Lors de l’échange génétique entre le génome nucléaire d’une plante verte et le génome de ses chloroplastes .

On remarque que grâce a l’endosymbiose il y a 87 gènes conservés par le chloroplastes et 1400gènes transférés vers le noyau de la cellule hôte au cours de l’évolution et 2300 protéines importés du noyau vers le chloroplaste Le document 5 est un arbre phylogénétique montrant les liens de parenté entre différentes espèces, les chloroplastes et les mitochondries du maïs.

Cet arbre a été établi en comparant la séquence de certains gènes présents dans les chloroplastes, les mtochondries et l’ADN des espèces étudiées.

Ces. »

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