Databac

POUSSIN, Nicolas (1594-19 novembre 1665) Peintre

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : POUSSIN, Nicolas (1594-19 novembre 1665) Peintre Peut-être est-ce auprès du peintre Quentin Varin qu'aux Andelys Poussinc ommence de se former au métier de peintre. Ce document contient 387 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie. Peintre français né aux Andelys en 1594, mort à Rome en 1665. Sans doute en relation avec Philippe de Champaigne, il travailla à la galerie du Luxembourg (1622). Vers l’âge de 30 ans, il se rendit à Rome où il passa désormais la plupart de son temps. Personnalité puissante, on peut le considérer comme un des plus grands artistes français. Sa réputation grandit au point qu’il reçut une invitation de Richelieu accompagnée d’une lettre du roi. Pour le Cardinal, il composa ses Bacchanales et Saint Jean baptisant le peuple. Louis XIII le reçut à Saint-Germain (1640). En 1642, de retour à Rome, il entama une série de sujets mythologiques, dont Les Bergers d’Arcadie. Surnommé le « peintre des gens d’esprit », il inspira Le Brun, Mignard, Le Sueur...

« POUSSIN, Nicolas (1594-19 novembre 1665) Peintre Peut-être est-ce auprès du peintre Quentin Varin qu’aux Andelys Poussin commence de se former au métier de peintre.

Entre 1612 et 1621 il étudie à Paris dans l’atelier d’Elle, dans celui de Georges Lallemand .

Il veut peindre à Rome encore mais, s’il parvient à Florence, il doit rentrer en France.

En 1622 et 1623, au côté de Philippe de Champaigne , il travaille au palais du Luxembourg.

Il peint dans la même période six tableaux que lui commandent les jésuites à l’occasion de la canonisation de saint Ignace et de saint François-Xavier.

Enfin, en mars 1624, Poussin est à Rome.

C’est à Gianbattista Marino, que l’on appelle en français le cavalier Marin, qu’il doit de rencontrer, dans l’entourage du pape, le cardinal Francesco Barberini.

Après le départ de celui-ci pour la France, Poussin connaît la gêne.

Il partage avec le sculpteur François Duquesnoy un logement dans la strada Paolina.

Dès son retour à Rome, le cardinal Barberini lui commande une toile sur le thème de la Mort de Germanicus .

Après son mariage, le 1 er septembre 1630, avec la fille d’un cuisinier français qui a logé et soigné le peintre alors qu’il était atteint d’une grave maladie, Poussin devient en 1631 membre de l’académie de Saint-Luc.

D’année en année, sa réputation s’est affirmée. Les amateurs commencent à attendre les peintures, que Poussin peint lentement.

Sa réputation dépasse les frontières.

En 1635 ou 1636, c’est pour le cardinal de Richelieu qu’il achève deux de ses toiles.

Deux ans plus tard, le surintendant des Bâtiments rappelle en France, où Richelieu veut le faire travailler, Poussin qui tergiverse.

Après des mois d’hésitation, il quitte Rome.

Le 17 décembre 1640 il est à Paris. Louis XIII lui-même le reçoit et en fait, dès l’année suivante, son premier peintre.

Poussin peint alors pour le roi comme pour le cardinal.

Mais son rôle de premier peintre l’oblige à concevoir des décors pour la grande galerie du Louvre et des motifs pour toutes sortes de décorations.

Sous des prétextes fallacieux, il quitte Paris à la fin de l’année 1642, et rentre à Rome.

En 1657, il y est élu prince de l’académie de Saint-Luc, mais il décline l’honneur.

Lorsqu’il meurt, le 19 novembre 1665, il est devenu à Rome comme dans toute l’Europe l’une des références essentielles de la. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles