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Ponts de Maastricht:Effort désespéré pour arrêter l'avance allemande (histoire de la seconde guerre mondiale).

Publié le 17/05/2020

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« 1 / 2 Ponts de Maastricht Effort désespéré pour arrêter l'avance allemande Les 10 et 11 mai 1 940, les Allemands lancèrent une offensive contre la ville de Maastricht, dont les deux ponts routiers et le pont ferroviaire franchissant la Meuse présentaient un intérêt stratégique consi­ dérable.

Pour arrêter les Panzer du groupe d'armées B, du général Bock, il fallait donc faire sauter ces ponts.

Le génie hollandais se mit à l'œuvre et les dynamita dans les règles.

Pour les rendre durablement inutilisables, on détruisit même une partie des tabliers.

Mais ces dégâts ne présentèrent pas d'insurmonta­ bles difficultés pour les experts allemands.

Dans le camp allié, on alla même jusqu'à soupçonner de trahison l'incompétent officier hollandais chargé de la destruc­ tion.

La pression allemande s'accentua d'heure en heure.

Le 1 0, le génie alle­ mand avait lancé un pont de bateaux sur la Meuse, permettant ainsi aux blindés de foncer en direction du canal Albert.

Les Britanniques apprirent la percée le 11 et, le lendemain matin, 39 bombardiers bri­ tanniques et français vinrent courageuse­ ment, mais vainement, s'attaquer au pont de bateaux.

Au cours de leurs missions de bombarde­ ment, les aviateurs alliés se rendirent compte que leur action ne ferait que ralentir les concentrations allemandes sur la rive occidentale.

Attendant leur tour de franchir la Meuse, de longues files de vé­ hicules stationnaient le long des larges voies descendant vers le fleuve.

Dix-sept appareils ne regagnèrent pas leur base et onze subirent d'irréparables dégâts.

Mais, dans une certaine mesure, la prise de la forteresse d'Eben-Emael par les troupes aéroportées du capitaine Koch rendit inutile le bombardement de Maas­ tricht.

En effet, les canons de 75 et 120 mm de ce point d'appui protégeaient non seulement le flanc droit de la 7" division belge, mais commandaient aussi Maas­ tricht et le canal Albert.

Eben-Emael tomba le 1 0 mai au matin.

Les Allemands parachutèrent des sections de mitrailleurs pour mieux s'y retrancher.

A midi, les élé­ ments avancés de la 4" Panzer franchirent la Meuse à Maastricht et les rejoignirent. 2 / 2. »

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