perle.
Publié le 08/12/2021
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perle. n.f., formation nacrée, généralement ronde, chatoyante, qui se développe
quand un corps étranger pénètre entre le manteau et la coquille de certains
mollusques. Le manteau sécrète alors de la nacre, qui enrobe le corps étranger. Les
perles sont généralement de teinte blanche, à reflets parfois jaunes, roses, gris, ou de
teinte noire, à reflets verts, bleus ou mauves. Elles sont composées de carbonate de
calcium, de matières organiques (conchyoline) et d'eau, comme la nacre qui constitue la
couche interne de la coquille des mollusques. Mais il existe des différences de structure
qui donnent à la perle son aspect velouté, le lustre, et son pouvoir de produire des
interférences lumineuses, l'orient. La perle est d'autant plus belle qu'elle se forme plus
lentement. Les perles les plus appréciées aujourd'hui proviennent des méléagrines, ou
huîtres perlières des mers chaudes. Les Japonais se livrent à l'élevage d'huîtres perlières.
Au cours de leur jeune âge, ces huîtres subissent une opération qui consiste à greffer
dans le muscle qui ferme les valves un petit sachet de manteau contenant un morceau
de nacre. Le greffon déclenche la formation d'une perle qui mettra plusieurs années pour
atteindre une taille suffisante. Il existe d'autres mollusques perliers, comme le
jambonneau de mer, qui fournit des perles très colorées, et des bivalves d'eau douce,
comme la mulette qui a été longtemps exploitée en Europe, ou d'autres espèces faisant
l'objet d'une intense production en Extrême-Orient, notamment en Chine.
Les fausses perles, qu'il ne faut pas confondre avec les perles de culture, sont
fabriquées entièrement par l'homme. On utilise un verre spécial pour obtenir de petites
sphères qui sont enduites ou remplies d'essence d'Orient, c'est-à-dire de minuscules
écailles d'ablette ou de hareng, ou de laque à base de nacre.
perle. n.f., formation nacrée, généralement ronde, chatoyante, qui se développe
quand un corps étranger pénètre entre le manteau et la coquille de certains
mollusques. Le manteau sécrète alors de la nacre, qui enrobe le corps étranger. Les
perles sont généralement de teinte blanche, à reflets parfois jaunes, roses, gris, ou de
teinte noire, à reflets verts, bleus ou mauves. Elles sont composées de carbonate de
calcium, de matières organiques (conchyoline) et d'eau, comme la nacre qui constitue la
couche interne de la coquille des mollusques. Mais il existe des différences de structure
qui donnent à la perle son aspect velouté, le lustre, et son pouvoir de produire des
interférences lumineuses, l'orient. La perle est d'autant plus belle qu'elle se forme plus
lentement. Les perles les plus appréciées aujourd'hui proviennent des méléagrines, ou
huîtres perlières des mers chaudes. Les Japonais se livrent à l'élevage d'huîtres perlières.
Au cours de leur jeune âge, ces huîtres subissent une opération qui consiste à greffer
dans le muscle qui ferme les valves un petit sachet de manteau contenant un morceau
de nacre. Le greffon déclenche la formation d'une perle qui mettra plusieurs années pour
atteindre une taille suffisante. Il existe d'autres mollusques perliers, comme le
jambonneau de mer, qui fournit des perles très colorées, et des bivalves d'eau douce,
comme la mulette qui a été longtemps exploitée en Europe, ou d'autres espèces faisant
l'objet d'une intense production en Extrême-Orient, notamment en Chine.
Les fausses perles, qu'il ne faut pas confondre avec les perles de culture, sont
fabriquées entièrement par l'homme. On utilise un verre spécial pour obtenir de petites
sphères qui sont enduites ou remplies d'essence d'Orient, c'est-à-dire de minuscules
écailles d'ablette ou de hareng, ou de laque à base de nacre.
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