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PARMENTIER, Antoine Augustin (17 août 1737-17 décembre 1813) Pharmacien, agronome.

Publié le 17/05/2020

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« PARMENTIER, Antoine Augustin (17 août 1737-17 décembre 1813) Pharmacien, agronome. A vingt ans, il est engagé en tant qu'apothicaire sous-aide dans l’armée royale.

Pendant la guerre de Sept Ans à laquelle il est amené à participer, il est fait prisonnier.

Dans le Hanovre, il herborise… En 1766, il devient pharmacien gagnant-maîtrise aux Invalides et, six ans plus tard, en 1772, obtient le brevet d’apothicaire-major des armées.

La même année, l’Académie de Besançon propose pour son concours le thème des végétaux de remplacement dans l’alimentation humaine.

Le mémoire de Parmentier qui a pour titre Végétaux qui pourraient suppléer en temps de disette à ceux que l’on emploie communément à la nourriture des hommes lui vaut d’être lauréat dès 1773.

C’est en 1785 que Louis XVI lui accorde de tenter la plantation sur cinquante arpents de la plaine des Sablons, à Neuilly, à côté de Paris, des pommes de terre.

Au sein de l’armée, il est amené encore à prendre part à la guerre d’Indépendance des Etats-Unis en Amérique et, militaire toujours, il participe encore aux guerres de la Révolution .

Dès 1793, il préconise, sans que les moyens techniques dont il dispose lui permettent de mettre en œ uvre ce que son intuition lui suggère, la conservation de la viande par la réfrigération.

Il met encore au point la fabrication de sirop de raisins et propose de remplacer le sucre de canne par celui du raisin.

Membre du Conseil de santé des armées en 1792, il est fait, dans le cours de germinal an IV, inspecteur général du Service de santé des armées de terre.

C’est à ce titre qu’il impose la vaccination contre la variole entre 1805 et 1813. Depuis 1795, il est membre de l’ Institut et il ne cesse par des livres autant que par des mémoires de chercher, plutôt que de lutter contre les maladies, à convaincre qu’une meilleure nourriture et qu’une amélioration de l’hygiène peuvent et doivent être efficaces.. »

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