Databac

« NOUS NE VIVONS JAMAIS, MAIS NOUS ESPÉRONS DE VIVRE; ET( NOUS DISPOSANT TOUJOURS A ÊTRE HEUREUX, IL EST INÉVITABLE QUE NOUS NE LE SOYONS JAMAIS. »

Publié le 10/06/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : « NOUS NE VIVONS JAMAIS, MAIS NOUS ESPÉRONS DE VIVRE; ET( NOUS DISPOSANT TOUJOURS A ÊTRE HEUREUX, IL EST INÉVITABLE QUE NOUS NE LE SOYONS JAMAIS. ». Ce document contient 1523 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie.

Pascal à l'intention de Mlle de Rouanez, au moment où elle souhaite entrer en religion : « Le passé ne doit pas nous embarrasser, puisque nous n'avons qu'à avoir regret de nos fautes ; mais l'avenir nous doit encore moins toucher, puisqu 'il n 'est point du tout à notre égard, et que nous n 'y arriverons peut-être jamais. Le présent est le seul temps qui est véritablement à nous, et dont nous devons user selon Dieu. »

« 1 / 2 c< NOUS NE VIVONS JAMAIS, MAIS NOUS ESPÉRONS DE VIVRE; ET.

NOUS DISPOSANT TOUJOURS A ÊTRE HEUREUX, IL EST INÉVITABLE QUE NOUS NE LE SOYONS JAMAIS.

» Pascal C'est vers les années 1657-1660 que Blaise Pascal (1623- 1662), qui s'est fait un nom illustre panni les scientifiques de son temps tout en prenant le parti des jansénistes de Port-Royal contre l'Eglise (Les Provinciales), commence à travailler à une Apologie de la religion chrétienne.

Mais, dès 1659, les premières atteintes de la maladie annoncent la mort prochaine de « cet effrayant génie » marqué depuis la plus tendre enfance par les infinnités.

Et deux années de silence, de méditation et de travail ( 1660-1662) ne suffiront pas à Pascal pour mener à son terme le projet initial, exposé dans sa conférence d'octobre-novembre 1658 faite à Port­ Royal « devant plusieurs personnes très considérables », de composer un ouvrage sur la Vérité de la religion chrétienne.

Pascal laisse à ses successeurs le mystère de vingt-sept liasses classées, composées chacune d'une série de « mor­ ceaux de petits papiers», fragments écrits dans l'ordre inverse de leur entassement par paquets reliés chacun, à l'origine, par un simple fil.

Les textes sont souvent écrits à la hâte, repris, complétés, surchargés, raturés ; certains mot,; parfois, trop abrégés, sont illisibles.

A cela s'ajoutent des textes rédigés « sur des feuilles volantes» et séparés d'un 2 / 2. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles