Databac

Nietzsche, La naissance de la tragédie. Chapitres 11 à 15.

Publié le 15/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Nietzsche, La naissance de la tragédie. Chapitres 11 à 15. Ce document contient 2146 mots soit 5 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Fiche de lecture.

« --- Informations sur l'utilisateur --- Nom : maeva ROY E-mail : [email protected] Id user : 114582 Pour visualiser son profil suivez ce lien : http://www.devoir-de-philosophie.com/compte/mroy10.html --- Informations sur le document transmis --- Titre : Fiche de lecture : La naissance de la tragédie, Nietzsche Catégorie: Philosophie Envoyé par téléchargement --- Contenu du document: --- Nietzsche , La naissance de la tragédie .

Chapitres 11 à 15. Dans cet ouvrage, Nietzsche tend à expliquer la naissance de la tragédie grecque, ses caractéristiques esthétiques et lesraisons de sa disparition.

C'est ce dernier point que l'auteur examine dans le passage que nous étudierons. Chapitre 11 Dans ce passage, Nietzsche explique que l'ancien genre de la tragédie grecque (la tragédie attique) aurait disparu subitement.

Euripide serait à l'origine de son agonie et de sa disparition et il serait également à l'origine d'un nouveaugenre que Nietzsche appelle « comédie nouvelle », « tragédie dégénérée » ou encore « nouvelle tragédie ». Caractéristiques de ce nouveau genre : - Il fait monter le spectateur sur la scène, car ce sont des personnages de la vie courante qui sont mis en scène, et non des héros et des Dieux comme dans l'ancienne tragédie. - Le spectateur dispose cependant de recul et de jugement critique sur ce qu'il voit, parce que ce qui est représenté sur scène lui est familier.

La comédie prodigue ainsi une sorte de sagesse au peuple. - Le langage courant est utilisé et enseigne au peuple à maîtriser l'art du discours et à user de sophismes (« le peuple sait maintenant (…) recourir aux plus subtils sophismes »). - Plus de foi en un idéal : la réalité quotidienne est exacerbée et elle est le seul objet de la tragédie.

C'est ce que Nietzsche appellera le début du nihilisme. - Elle tire donc sa force du plus grand nombre (de la foule), alors que l'ancienne tragédie, elle, recherchait l'approbation des spectateurs les plus doués. Euripide, chef de chœur de la tragédie nouvelle :è C'est ce qui est montré dans Les Grenouilles d'Aristophane - Euripide a su en quelques sortes épurer la tragédie, la débarrasser du superflu. - Le peuple ferait n'importe quoi pour en apprendre plus de lui ; « on ne cessait de louer Euripide ». Erreur d'interprétation, vieillesse de l'hellénisme :. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles