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NECKERJacques(1732-1804)Homme politiqueCommis à la banque Vernet à Paris en 1747, on le remarque lorsqu'ilest syndic de la Compagnie des Indes.

Publié le 23/05/2020

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« NECKER Jacques (1732-1804) Homme politique Commis à la banque Vernet à Paris en 1747, on le remarque lorsqu’il est syndic de la Compagnie des Indes.

En 1765 il crée sa propre banque.

Sa femme, quant à elle, tient un salon où Buffon, Grimm, Marmontel, d’Alembert et Diderot discutent.

En 1773 Necker publie un Eloge de Colbert et deux ans plus tard un Essai sur la législation et le commerce des grains .

L’un et l’autre textes sont une critique de la politique menée par Turgot.

Quoi qu’il soit Genevois et protestant, le roi le nomme directeur du Trésor royal en 1776 et, dès l’année suivante, directeur général des Finances.

Il veut imposer plus de justice dans le régime fiscal comme il veut associer davantage les notables à la gestion des affaires en province.

La cour et les parlements ne tolèrent pas ces initiatives qui remettent en cause leurs privilèges.

Avec l’accord du roi, en 1781, Necker publie un document qui révèle ce que sont les pensions payées aux courtisans.

Ce Compte rendu au Roi provoque un scandale.

Necker doit se retirer.

Calonne le remplace.

Lorsque Louis XVI prend connaissance du mémoire que celui-ci lui remet, il s’exclame : « Mais c’est du Necker tout pur que vous me donnez là ! » Louis XVI doit rappeler Necker en 1788. Celui-ci le convainc de convoquer les Etats généraux.

Mais, le 11 juillet, une nouvelle fois le roi le renvoie. « Votre Majesté perd l’homme du monde qui lui était le plus tendrement dévoué » , lui écrit Necker avant de prendre la route de l’exil.

A Coppet, en Suisse, il écrit plusieurs ouvrages pour justifier ses choix et condamner la Révolution puis l’Empire. A cette époque vivaient : ARGENSON, René Louis de Voyer, marquis d’ (1694-1757). »

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