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NADAR, Gaspard Félix Tournachon, dit (6 avril 1820-21 mars 1910) Photographe, aéronaute, écrivain Echotier, c'est en collaborant à de multiples revues que Nadar commence à gagner sa vie à Paris au milieu de la bohème littéraire.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : NADAR, Gaspard Félix Tournachon, dit (6 avril 1820-21 mars 1910) Photographe, aéronaute, écrivain Echotier, c'est en collaborant à de multiples revues que Nadar commence à gagner sa vie à Paris au milieu de la bohème littéraire. Ce document contient 233 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« NADAR, Gaspard Félix Tournachon, dit (6 avril 1820-21 mars 1910) Photographe, aéronaute, écrivain Echotier, c’est en collaborant à de multiples revues que Nadar commence à gagner sa vie à Paris au milieu de la bohème littéraire.

Il publie sans succès deux romans, puis donne des caricatures et parfois encore des textes à des journaux comme Le Journal du dimanche ou le Charivari .

En 1854 paraît le Panthéon Nadar , qui réunit les portraits de deux cent cinquante artistes et hommes de lettres publiés précédemment dans le Petit Journal pour rire sous le titre La Lanterne magique .

En octobre la vente en est interdite, car plusieurs personnalités accusent Nadar d’avoir publié leurs portraits sans leur autorisation.

Dès le mois d’avril 1854, certains de ses amis, tel le dessinateur et graveur Gustave Doré , posent pour le photographe que Nadar a décidé d’être.

Tous ses contemporains du monde politique, mondain, artistique, théâtral et musical vont passer par son atelier.

La Société d’encouragement pour la locomotion aérienne aux moyens d’appareils plus lourds que l’air, les essais qu’il fait entre 1863 et 1867 avec le ballon Le Géant , lui valent une renommée internationale.

Il prête en 1874 son atelier aux jeunes peintres qui sont qualifiés alors d’ impressionnistes et, quatre ans plus tard, organise la première importante exposition de Daumier , qui vit alors dans la misère.

Dix ans avant sa mort il publie un livre de mémoires, Quand j’étais photographe.. »

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