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Morceau de viande : analyse linéaire

Publié le 09/06/2021

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« Introduction : Francis Ponge : Francis Ponge (1899-1988) : poète qui depuis son jeune âge éprouve une violente révolte contre le parler ordinaire (Proêmes, « Des Raisons d'écrire »).

Poète qui écrira principalement des poèmes en prose. Ponge => Volonté d’être le poète du quotidien, du matériel, des objets et des choses.

« Le morceau de viande » est un poème qui figure dans le recueil de Ponge Le Parti pris des choses.

Recueil publié en 1942 => L’intérêt du poète se porte sur des objets poétiques inattendus, tels un cageot, une bougie, une cigarette, une huître, une crevette, un galet… et dans ce poème : un morceau de viande.

NB : le titre même du poème n’est guère poétique ! Phrase 1 : la bête abattu est déjà découper et c’est en tant que nourriture (preparation spécifique)qu’elle est immediatement traité c’est pour ca qu’on l’associe à l’usine Phrase 2: montre le lieu avec l’usine avec une description des instruments de utilisés mais « tubulure » , « aux fourneaux » et « marteau pilon » évoquent un rythme et une musicalité , on pourrait associer les premiers à un orgue.

« les coussins de graisse » rappellent la transformation en cours. Phrases 3et4 : présentent ensemble la musicalité qui est ici proposé avec le son de la vapeur tandis que la couleur est convoqué par l’intermediaire des feux , c’est l’ouverture poetique de la description Phrase 5 : nous sommes en dehors de l’usine avec des ruissaux qui charient les déchets.

Ceci sont abondants et renvois a l’aspect morbide de tout ce qui n’est pas comestibles. Phrase 6 : il y a une poursuite du constat avec la phrase 5, avec le retour de la mort et de la pourriture .

Cela scinde en 2partis cette poesie proche d’un article du dictionnaire ce qui se mange est ce qui poursuit la vie on y trouve l’espace poetique Ce qui est rejete et renvois à la mort , la puttrefaction puis la disparition C’est ce que sous entend la phrase 7 avec l’allusion aux reactions chimiques .

Dans tous les cas , le poete fait appel à nos sens afin de comprendre sa prose. Conclusion : Le poete est fascine par la transformation qui s’opere dans la viande .

Mais , il n y a pas de methaphysique déclarée dans la cuisson du bifsteck .

Ce n’est pas la condition humaine qui est exprimé mais la fin de toutes viandes donc la fin de notre corps.. »

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