Databac

MONTFORT, Simon IV, comte de(vers 1150-1218)Homme d'armesEn 1202, il participe à la cinquième croisade.

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : MONTFORT, Simon IV, comte de(vers 1150-1218)Homme d'armesEn 1202, il participe à la cinquième croisade. Ce document contient 334 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« MONTFORT, Simon IV, comte de (vers 1150-1218) Homme d’armes En 1202, il participe à la cinquième croisade .

Il en revient auréolé par le prestige que lui vaut sa bravoure.

Champion de la foi, serviteur de l’Eglise, c’est à une autre croisade qu’il prend part en France même, celle qu’il mène contre l’ hérésie cathare à l’appel du pape Innocent III.

Il participe au siège de Béziers, le 22 juillet 1209 .

Sans doute est-il auprès d'Arnaud-Amaury, abbé de Cîteaux qui lance aux soldats : “ Coedite eos, novit enim Dominus qui sunt ejus ! ” (Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens).

Le 12 septembre 1213, après s’être emparé des châteaux d’Agen, de Moissac et d’Auterive dont les populations sont décimées comme celle de Béziers a été massacrée, il engage une bataille à Muret.

Simon de Montfort, après avoir gagné la bataille et s’être incliné devant le corps de Pierre II d’Aragon qu’il vient de vaincre, entre dans l’église de Toulouse pieds nus, pour rendre grâce à Dieu de sa victoire.

Après que le concile du Latran a déposé Raymond VI et donné son comté de Toulouse à Simon de Montfort, la population de la ville se dresse contre celui que le roi de France, Philippe II Auguste , a pourtant investi.

Les combats ne cessent dans la ville que parce que l’évêque Foulques s’est entremis. Mais les conditions imposées par Simon, le démantèlement de la cité, provoquent chez les Toulousains une ranc œ ur que seule peut apaiser la vengeance.

Le retour de Raymond VI , le 13 septembre 1217, en est l’occasion.

Simon doit mettre le siège devant la ville qui a accueilli son comte par ce cri de joie : “ Toulouse ! Toulouse ! Jésus-Christ est parmi nous ! ” Le siège dure jusqu’au 22 juillet 1218.

Lors d’une échauffourée, le 25 juin, Simon de Montfort, qui a juré à propos de Toulouse : “ Elle me tuera ou je la tuerai ”, meurt auprès de son frère Guy, frappé à la tête par la pierre lancée par une catapulte.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles