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Méthodologie en philosophie

Publié le 30/06/2020

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« 2. La rédaction Le mieux est de rédiger directement la plus grande partie du travail. Si vous n'y parvenez pas, rédigez rapidement au brouillon, pendant la préparation, puis recopiez (...et améliorez) ce premier essai. ? L'introduction. Les plus courtes sont les meilleures. Évitez les « depuis toujours, l'homme se demande si... ». Partez d'un fait précis qui conduit à poser la question (que vous recopiez très exactement), et passez à : ? L'analyse de la question. Ne retenez de votre préparation que ce qui sert l'examen des problèmes : les différents sens de la question, etc. Dites qu'une difficulté existe — si c'est le cas —, avant de tenter de la résoudre : c'est faire preuve de réflexion, montrer qu'on ne se débarrasse pas des problèmes. ? Le développement. Pas de plan valide pour tous les sujets, mais quelques exigences : argumentez les idées (pas d'affirmations gratuites) ; ordonnez les perspectives ; justifiez par des transitions les mouvements de la réflexion ; matérialisez cet ordre par l'usage des mots de liaison et des paragraphes. ? La conclusion. Inutile de tout résumer, de se répéter ! Si votre position a été clairement exposée, le travail est terminé. Ajoutez, si vous le voulez, une formule judicieuse qui ouvre sur d'autres perspectives, mais évitez les généralités ressassées (« chacun a son opinion »...) Le texte proposé est précédé ou suivi de la formule : « Dégager l'intérêt philosophique de ce texte à partir de son étude ordonnée ». Le travail comprend donc deux moments. Ces deux moments peuvent être menés de front, mais il est plus facile de les rédiger successivement. 1. 1er moment : comprendre le texte ? Déterminer chacune des thèses, des idées, du texte : leur contenu (ce qui est dit) leur forme (comment cela est dit : s'agit-il d'un constat, d'une hypothèse...) ? Déterminer le lien entre ces thèses (telle hypothèse est vérifiée ou infirmée par tel constat...) 2. 2e moment : examiner la valeur des thèses centrales exposées dans le texte ? Grâce à une réflexion conduite comme une dissertation, mais qui se réfère toujours au texte. N.B. Évitez la paraphrase, piège classique : on demande une étude ordonnée. Ne plaquez pas sur le texte ce que vous savez (peut-être) de son auteur ; vous pouvez ignorer sa philosophie (Instructions officielles) ; il faut partir de la lecture d'un texte précis ; éventuellement, situez le texte dans la pensée de son auteur mais en partant du texte. FREQUENCE DES SUJETS En ce qui concerne les cinq dernières années, on constate que les sujets du baccalauréat portent sur toutes les notions du programme sauf l'espace. On peut cependant, selon leur fréquence, répartir ces notions en quatre groupes : ? Les notions très fréquemment proposées « nature et culture », « le langage », « l'art », « la société-l'État », « le droit-la justice », « la liberté ». ? Les notions souvent proposées « l'inconscient », « le désir », « les passions », « l'illusion », « autrui », « la mémoire - le temps », « l'existence - la mort », « nature et culture », « l'histoire », « le jugement - l'idée », « théorie et expérience », « la vérité ». ? Les notions un peu moins souvent proposées « la conscience », « l'imagination », « logique et mathématique », « connaissance du vivant », « constitution d'une science de l'homme », « l'irrationnel », « le travail », « les échanges », « la technique », « la religion », « la violence », « le devoir », « le bonheur ». ? Les notions très rarement proposées « l'espace », « la perception ». N.B. Il convient de ne pas oublier que la bonne connaissance d'une notion peut être utile pour traiter un sujet dont la problématique ne porte pas directement ou expressément sur cette notion. ...»

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