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MASSENA, André, duc de Rivoli, prince d'Essling (1758-1817)Maréchal de France.

Publié le 17/05/2020

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MASSÉNA (ANDRÉ, DUC DE RIVOLI, PRINCE D’ESSLING)

Maréchal de France, né à Nice en 1756, mort à Paris en 1817. Enrôlé tout jeune dans l’armée, il participa aux guerres de la Révolution où il parvint au grade de général de division (1793). Il  prit ensuite une part des plus glorieuses dans la campagne d’Italie (1797). C’est lui qui décida du gain de la bataille de Rivoli, en vertu de quoi Bonaparte le surnomma « l’enfant chéri de la victoire ». En 1799, il se couvrit de gloire en battant les Russes à Zurich. En 1800, retranché dans Gênes avec des forces réduites, il parvint à fixer les Autrichiens pendant quatre mois et permit ainsi la victoire de Marengo. Nommé maréchal et duc de Rivoli (1804), il prit la tête de l’armée d’Italie l’année suivante. En 1806, il s’empara, pour Joseph Bonaparte, du royaume de Naples. Mais c’est en 1809 que sa réputation de soldat atteignit sa plus haute renommée : vainqueur de l’archiduc Charles à Eckmühl, il montra ensuite les plus belles qualités guerrières à Essling et à Wagram et mérita le titre de prince d’Essling, que Napoléon lui-même lui octroya. Il fut moins heureux au Portugal (1810) face à Wellington qui le repoussa en Espagne (1811). Rallié aux Bourbons en 1814, il n’intervint pas pendant les Cent-Jours et obtint le poste de gouverneur de Paris après Waterloo.

« MASSENA, André, duc de Rivoli, prince d’Essling (1758-1817) Maréchal de France.

Une succession d’éclatantes victoires militaires mènent le jeune général de division au grade de maréchal : la victoire de Rivoli (1797), la bataille de Zurich (1799), la victoire de Marengo qu’il facilite en retenant les Autrichiens devant Gênes pendant 4 mois, la victoire d’Essling, de Wagram...

Celui que Napoléon I er nomme “ l’enfant chéri de la Victoire ” voit cependant sa popularité s’effondrer quand il échoue au Portugal devant les lignes britanniques à Torres, échec qui le conduit à évacuer le pays.

Napoléon le laisse tomber dans l’oubli et en 1814, le maréchal rallie la cause des Bourbons.. »

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