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MANSART, Jules Hardouin dit Hardouin-Mansart (1646-1708)

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : MANSART, Jules Hardouin dit Hardouin-Mansart (1646-1708) Architecte - C'est parce qu'il est le petit-neveu de François Mansart (1598-1666) que Jules accole son nom au sien. Ce document contient 265 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie. MANSART (JULES HARDOUIN) Architecte français né à Paris en 1646, mort à Marly en 1708. Petit-neveu de François Mansart (architecte qui sut réunir les styles Renaissance et classique et généralisa la « mansarde ») qui le forma, remarqué par Louis XIV, il devint son premier architecte en 1681, puis surintendant des Bâtiments royaux en 1689. On lui doit le splendide dôme des Invalides - l’un des trois ou quatre plus beaux au monde. À Versailles, chargé d’achever les travaux de Le Vau, il conçut la galerie des Glaces, édifia les Petites et les Grandes Ecuries, l'Orangerie, la chapelle et le Grand Trianon. On lui doit aussi le château de Marly ainsi que le couvent de Saint-Cyr. Dans Paris, il réalisa la place Vendôme et la place des Victoires.

« MANSART, Jules Hardouin dit Hardouin-Mansart (1646-1708) Architecte C’est parce qu’il est le petit-neveu de François Mansart (1598-1666) que Jules accole son nom au sien.

C’est auprès de Libéral Bruant , qui, entre autres, a construit l'hôtel des Invalides à Paris, qu’il se forme et non auprès de son grand-oncle qui a construit l’église du Val-de-Grâce.

En 1681, il est premier architecte du roi .

L’année suivante, le roi l'anoblit et lui donne le titre de comte de Sagonne.

En 1699, il est surintendant général des bâtiments royaux.

C’est d’un projet de son grand-oncle Mansart qu’il s’inspire pour parachever les Invalides, construit par son maître, et y élever l’église que coiffe un dôme.

Puis, à Versailles, après avoir donné au château et, en particulier, à la façade tournée sur les jardins et le parc son allure définitive, après avoir développé au nord et au sud les grandes ailes, après avoir construit les petites et les grandes écuries et la nouvelle orangerie, il conçoit et élève le Grand Trianon.

A Versailles, encore, il commence d’édifier la chapelle royale.

Plus tard, encore, c’est à Paris qu’il travaille.

Il conçoit la place des Victoires, qui s’élève entre 1682 et 1687, et aussi la place, appelée alors la place de Conquête et nommée aujourd’hui la place Vendôme.

C’est après avoir conçu, pour le Grand Dauphin et pour le roi , les douze pavillons de Marly, dont la disposition est un nouveau symbole qui sert le roi (comme il n’a pas cessé de le servir) par les images de la rigueur et de la gloire toujours élevées pour lui, que meurt l’architecte du classicisme .. »

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