L'Euthanasie
Publié le 23/05/2020
Extrait du document
«
L’euthanasie, d’après la médecine est l’ensemble des méthodes qui provoquent une mort
sans souffrance, afin d’abréger une agonie très longue, ou une maladie douloureuse à l’issue fatale.
Ce qui reviens à parler de suicide assisté.
Dans certains pays comme les Pays-Bas, la Belgique et le
Luxembourg, cette acte est légal mais pour que cela se fasse, il faut l’avis de deux médecins différents,
tandis qu’en France, l’euthanasie est interdite.
Donc cet acte est effectué par un tiers.
A ne pas confondre avec l'euthanasie, l'assistance au suicide désigne un processus où l'acte
létal est accompli par la personne malade elle-même.
Concrètement, il s'agit pour le médecin de
fournir au patient les substances létales qui l'aideraient à abréger ses souffrances, mais en le laissant
effectuer le geste final.
Ou encore à ne pas confondre avec le « laisser mourir » appelée "euthanasie passive" par
certains, c'est la forme là mieux acceptée d'assistance à la fin de vie : elle consiste à arrêter les
traitements, sur la demande du patient.
L'administration de substances destinées à diminuer les
douleurs du patient, mais qui peuvent avoir pour conséquence d'accélérer sa mort, entre également
dans ce cadre : c'est le cas par exemple pour la sédation profonde, qui permet au patient de ne pas
souffrir.
La question que nous nous sommes posés est la suivante : « dans quel cas pourrions-nous
avoir recours à l’euthanasie ? ».
Mais, pour y répondre, il faut d’abord trouver les causes qui pourraient menés à euthanasier,
ou abréger les souffrances, et pour cela, connaitre quels sortent de souffrance existe-t-il et essayer de
les classés selon une intensité.
Malheureusement, chaque cas peut être différent mais pour
euthanasier quelqu’un nous pouvons prendre quelques exemples, comme celui de Vincent Humbert .
Après un accident de la route, Vincent Humbert était devenu aveugle, muet et tétraplégique.
Après 6 mois de coma, son seul moyen de communication était de bouger son pouce et il pouvait
seulement entendre.
Quand les médecins lui ont annoncé que sa guérison avait très peu de chance
d’arriver voir aucune, il n’avait aucune raison de vouloir continuer de vivre, et il n’en avait pas,
pendant beaucoup de temps, il demanda à sa mère de l’aidez à mourir mais celle-ci refusait de
l’écouter lui dire ça.
Au bout d’un moment, elle accepta de l’aidez a mourir et tous les deux,
entreprirent plusieurs démarchent dont celle d’envoyer une lettre au président Chirac afin de lui
demander le droit de mourir, donc l’euthanasier.
Il lui a fallu un peu moins de 6 ans pour avoir enfin
une ordonnance d’un juge pour qu’on l’euthanasie.
Cet homme ne ressentait pas que la douleur
physique du a son accident, mais aussi une douleur psychologique, celle de savoir qu’il n’y a plus
d’espoir de guérison, la souffrance qu’il ressentais de sa mère qui à tout arrêter pour rester avec son
fils après son accident, le fait de voir la vie continuer sous ses yeux sans qu’il ne puisse rien faire etc…
Pour plus d’infos sur son histoire et les démarches un de ses amis a écrit un livre dont il a écrit avec
l’aide de Vincent Humbert racontant toutes ses pensées après son accident.
(Autre exemple dont on pourrait euthanasier)
Malgré ces deux exemples, il en existe d’autres dont on ne peut pas pour l’instant
euthanasier.
Imaginer une personne âgée qui venant de perdre son conjoint, il n’existe aucun descendant
et est toute seule maintenant.
Cette personne veut mourir car elle ne supporte plus la solitude et
veut rejoindre la personne qu’elle a perdu, est-ce suffisant selon vous pour l’aider à mourir ? Elle
souffre certes psychologiquement mais est-ce une raison pour abréger sa vie alors qu’elle pourrait
encore vivre même si c’est seul ?.
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