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Les principales formations naturelles terrestres, désignées aussi par grands biomes, sont données en un tableau synoptique schématisé à l'extrêmeLa biogéographie englobe deux domaines: la phytogéographie ou géographie des plantes et la zoogéographie ou géographie des animaux.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Les principales formations naturelles terrestres, désignées aussi par grands biomes, sont données en un tableau synoptique schématisé à l'extrêmeLa biogéographie englobe deux domaines: la phytogéographie ou géographie des plantes et la zoogéographie ou géographie des animaux. Ce document contient 525 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Faune et Flore.

« 1 / 2 Les principales formations naturelles terrestres, désignées aussi par grands biomes, sont données en un tableau synoptique schématisé à l'extrême La biogéographie englobe deux domaines: la phyto­ géographie ou géographie des plantes et la zoogéo­ graphie ou géographie des animaux.

On s'est appli­ qué parfois è placer cartographiquement les animaux aux endroits qui sont logiquement les leurs en réalité et cela pour que la vision des choses soit plus sug­ gestive.

Si cela n'est pas toujours possible, il est bien entendu que les corrélations entre les organismes sont manifestement Il établir.

Il ne serait guère pos­ sible autrement de parler d'environnement.

Le but de la biogéographie, sa partie écologique en particulier, étant justement de mettre en évidence les relations des vivants avec le milieu.

Si de nombreux concepts restent â préciser dans l'ordre des formations végétales, une mosaïque ter­ restre restait Il montrer.

Cette répartition géogra­ phique des formations principales suggère de remar­ quables phénomènes de convergence, attribuables Il une similitude des cÔnditions de milieu.

Il est bien entendu que la végétation impose aux biocénoses, grandes ou petites, leurs particularités essentielles.

De cette couverture végétale, tout dépend Il l'échelle planétaire.

Les grandes biocénoses sont dites biocénoses majeures ou biomes.

Par biome on sous-entend une unité écologique de très vaste étendue recouvrant de grandes fractions de continents.

Cette unité supé­ rieure d'habitat est toujours placée sous l'influence d'un ensemble de facteurs généraux climatiques aux­ quels il convient d'ajouter la topographie et la nature du sol.

La notion de biome embrassant faune et flore, on conçoit que les espèces lui sont non seulement spé­ cifiques.

mais encore associées en larges commu- nautés.

Au niveau des biomes, il y a coïncidence spa­ tiale entre associations animales et associations vé­ gétales.

Ces grandes unités communautaires s'ordonnent en quelque sorte de manière parfois spectaculaire et peuvent donc servir parfaitement d'unité biologique complète, ce qui est fort utile Il la compréhension en de nombreux cas.

On a, Il l'intérieur d'un biome, ce vaste écosystème, tous les stades de développement des diverses bio­ cénoses mineures.

On retiendra, ce que nous ne pou­ vons représenter, les paliers d'altitude qui représen­ tent chacun des biomes particuliers.

On met souvent en évidence une certaine similitude entre la toundra classique et celle dite toundra alpine.

Les aires de dispersion de beaucoup d'espèces d'ani­ maux ont les mêmes limites, c'est ce qui a permis~ la zoogéographie de diviser les continents en ré­ gions, voire en provinces.

La région se caractérise par le fait que certains groupes d'animaux y sont majoritaires et ne se trouvent que Ill.

On distingue 7 régions pour les animaux terrestres et l'on verra par la suite Il quel point sont nombreux les recoupe­ ments Il faire avec les grandes unités biogéographi­ ques.

Un échange n'est concevable et mesurable entre la plante (ou l'animal) et le milieu où sont pui­ sées les ressources nécessaires que si l'écosystème est en état d'équilibre.

Il importe de songer au renou­ vellement des ressources qui caractérisent les princi­ paux habitats.

Il faut souhaiter que la mosaïque vivante que nous représentons puisse demeurer encore longtemps ce qu'elle est.

Déjll ce que nous nommons déserts ne comprend pas toutes les zones devenues arides et elles s'étendent dangereusement.

© 1978, Editions Rencontre S.A., Lausanne Photo Gérard Mermoud-Edito-Service-Genève Imprimé en Italie 16 187 130-01 2 / 2. »

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