les inégalité au sein de la formule 1

« Dans le monde, Il existe beaucoup d’inégalités comme l’inégalités des classe sociale ( il y a un nouveau milliardaire toutes les 26 heures dans le monde, alors que 160 millions de personnes sont tombées dans la pauvreté) , l’inégalités homme-femme ou encore l’inégalite raciale.

Aujourd’hui nous allons nous intéresser plus particulièrement sur l’inégalité homme femme dans le cadre du sport automobile.

“ J’espère qu’un jour, une jeune femme forte arrivera et battra tout le monde”.

Lewis Hamilton, pilote de f1 mettait la lumière sur un des défauts de la Formule 1 : l’absence de pilotes femmes et ce depuis 45 ans.

1976, c’est la dernière année où une femme a pris le départ d’un Grand Prix en Formule 1, depuis, seuls les hommes squattent les circuits dans un sport qui pourtant, comme la voile ou l’équitation, permet le mélange des sexes.

Alors pourquoi la présence féminine est-elle aux abonnés absents ? Au départ, l’automobile était une industrie de pointe, réservée à une élite d’ingénieurs et de scientifiques, des hommes évidemment.

Puis, la conduite demandant de la pratique et des compétences, le sport automobile a été réservé exclusivement aux hommes, que ce soit sur le pilotage ou la technique.

Socio historiquement donc, les femmes ne font pas partie du sport automobile. Un fait qui n’a pas bougé, ou presque, de nos jour en 2022 il n’y toujours aucune femme sur la grille de départ d’un Grand Prix.

Car si, sur le papier, la Formule 1 est un sport mixte, cette discipline reste quasi exclusivement masculine : en 71 éditions, seules deux femmes ont pris le départ d'un GP : Maria Teresa de Filippis en 1958 et Lella Lombardi de 1974 à 1976.

Lombardi fut la plus performante puisqu’elle a participé à 12 courses.

C’est également la seule à avoir terminé dans les dix premiers d’un GP. Mais il y a peu de chances qu’une femme pilote ce retrouve sur la grille de départ de GP.

Car comme pour les hommes finalement, ce dont une femme a vraiment besoin pour participer à des.... »