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Les femmes dans la guerre

Publié le 25/05/2021

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« S oundouss C AU DEN T G 1 A ndre a B U RET L es fe m mes d ans la g uerre . Quels sont les rôles et places des femmes dans la Seconde Guerre mondiale ? Durant la Seconde Guerre mondiale, les femmes participent à l’ef fort de guerre. En Allemagne, aux Etats Unis, en France, au Japon ou au RoDXPH8QL, elles travaillent notamment dans les usines d’armement. Aux Etats Unis, les femmes produisant les munitions sont surnommées “munitionnettes” depuis la première guerre mondiale. Au IIIe Reich, de nombreuses Allemandes participent à la gestion des territoires occupés (secrétariat, tâches administratives ). En France, elles sont surnommées les “souris grises”. Certaines femmes participent aux combats durant la Seconde Guerre mondiale. Elles ne sont pas seulement infirmières : certaines s’engagent dans des corps spécifiques (auxiliaires féminines de l’armée de terre dans l’armée française, par exemple ). Elles peuvent aussi servir dans les stations radars et les services de communication, ou manipulent les batteries de DCA. Dans l’Armée Rouge, les femmes conduisent les chars, pilotent des avions de chasse ou manient le fusil avec adresse, comme la célèbre tireuse d’élite Lioudmila Pavlitchenko. Les femmes combattent également dans la clandestinité et s’engagent dans la résistance dans divers pas occupés ( France, URSS, Chine, Pologne, etc ). Certaines résistantes sont devenues célèbres comme Lucie Aubrac, Lise London ou Germaine T illion. En France, les femmes représentaient 20% des ef fectifs de la résistance. Certaines femmes ont d’autant plus marqué les esprits, notamment Hélène T erré, entrant au service de la Croix-Rouge en septembre 1939. En ef fet, elle est engagée au sein des Forces Françaises libres et dirige, à partir de 1941, le Corps des volontaires Françaises puis par la suite, en automne 1943, les Auxiliaires féminines de l’armée de terre ( 15 000 femmes à la libération ). Le capitaine T erré succède en 1941 à la championne de tennis Simonne Mathieu à la tête du Corps des volontaires françaises fondé dès le 7 novembre 1940 et se voit remettre le fanion du Corps des volontaires françaises par le général de Gaulle à Londres en novembre 1942. Elle explique dans l’un de ses ouvrages que de nombreuses femmes rejoignaient les V olontaires Françaises d’un peu partout d’Europe et d’Amérique afin de remplacer les hommes aDQt abandonné leur rôle pour la guerre. Elles ont été instruites et éduquées de sorte à remplacer les hommes dans leurs rôles quotidiens. En 1943, Hélène T erré participe à la création des “A TAF” à Alger , qui intègrent les 430 Françaises Libres aDQt remplacé les hommes. Cette grande femme assure le transfert de l’état-major des A TAF au ministère de la guerre en 1944 et incorpore des volontaires ainsi que constitue une armée de 15 000 femmes. La deuxième femme aDQt grandement marqué les esprits est Charlotte Nadel, une fille d’émigrés russes, étudiante à la Sorbonne et aDQt participé à la fondation du mouvement Défense de la France. En ef fet, elle a dirigé les quatre ateliers clandestins d’impression du journal mais est malheureusement arrêtée le 27 mai. »

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