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Le travail est il une fatalité ?

Publié le 10/05/2021

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« Le travail est-il une fatalité ? A la question pourquoi travaille t on ? on entend souvent " pour gagner sa vie", satisfaire ses besoins (nourriture , logement) .

Le travail semble donc d'abord une contrainte imposée par notre condition d'être vivant .

A cause de son aspet pénible et répétitif le travail est vécu comme une triste obligation puisque l'homme se fatigue à la la tache, les hommes rêvent souvent de loisir, de temps libre et éprouvent le travail, dont ils ont besoin de vivre , comme un poid , une contrainte ; on peut se demander si la nécéssité de travailler constitue une limitation de la liberté humaine. Le travail est donc nécessaire à l'Homme.

Mais plus que la nécessité, on peut se demander si le travail est une fatalité (le terme travail du latin tripalium est synonime de torturture) c'est à dire est ce le destin de l'homme de travailler ou nous rend il libre d'une certaine manière ? nous verrons, dans un premier temps que le travail permet d'accéder à la liberté humaine , de s'humaniser puis nous montrerons que le travail risque d'aboutir à une aliénation de l'homme par lui même.

Le travail des hommes permet le contrôle de la nature, en effet, celui-ci permet aux hommes de devenir comme « maîtres et possesseurs de la nature » Descartes, et d’attteindre le bonheur.

En effet grâce au developpement de notre habileté et des techniques, nous apprenons à nous servir des lois de la nature pour produire de manière toujours plus efficace les fins souhaitées, contrairement aux animaux qui eux reproduirons toujours le même habitat dans lequel ils vivent, par exemple les abeilles ne reproduiront jamais une ruche differente, un oiseau ne fera jamais un nie different que son ancien, l’instinct animale est alors plus mis en avant.

Ce travail qui permet a l’homme d’atteindre des fins souhaitées, lui permet de s’humanisé ; le travail est un processus d’humanisation.

Hegel (philosophe allemand du 18-19ème siècle) valorise encore plus le travail, grâce auquel l’homme atteint la faculté de transformer les choses, sa faculté de se transformé lui-même et de se libèrer, on peut donc dire qu’il sort du travail humanisé.

D’alleurs, dans la dialectique du maître et de l’esclave, par Hegel, le maître finit par dépendre de l’esclave, lequel développe quant à lui sa conscience en travaillant.

Les rôles s’inversent donc.

Car oui, en effet, le travail permet à l’homme de prendre conscience de lui-même, les produits du travail sont autant de « miroirs de la conscience ».

Hegel note par exemple que la contemplation d’une œuvre architecturale, d’une œuvre artistique, fait comprendre à l’homme qu’il n’est pas seulement un être spirituel mais qu’il est aussi voué à mener une vie spirituelle.

Le travail sert d’education à la liberté, car evidement, un onde où tout nous serait dû, tout nous serait transmis et tout nous serait acquis semble illusoire.

Ainsi, le travail enseigne à l’homme comment sortir de la nécéssité pour percevoir la possibilité de la liberté.

Pour alain (philosophe, journaliste, essayiste et professeur de philosophie français du 19-20 eme siècle), le travail libre est à la fois « effet de puissance », de sentir que les résultats de travail sont positifs, atteindre des objectifs, le travail libre fait alors aussi « source de puissance » « encore une fois, non point pour subir, mais agir ». Cependant, même si le travail amène à une libération, à une maîtrise de la nature, un processus d’humanisation et à une éducation a la liberté, il agit aussi comme aliénation, d’un premier point à ause de l’asservissement à la nécessité.

Hannah Arendt, une philosophe du 20ème siècle, définit le travail comme l’asservissement à la nécéssité, ce qui serait selon elle inhérent, essentiel aux conditions de la vie humaine.

Ce qui serait inscrit dans le cycle biologique répétitif de production de biens de consommation éphémères, le travail est une « repétition sans fin ».

Cette femme distingue ce travail dévalué de l’oeuvre, avec la production d’objets destinés à un usage particulié, et de l’action dans le domaine politique.

De plus, les condition de travail, participe à l’aliénation, en effet, pour Marx, le travail est « aliéné » quand il est « exterieur à l’ouvrier », « dans son travail, celui-ci ne s’affirme pas mais. »

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