LE survenant
Publié le 17/05/2020
Extrait du document
«
À l'époque de la Nouvelle-France, les Canadiens français veulent tellement sauvegarder leurs traditions et leur
religion qu'ils se ferment au reste du monde.
Au début du XXe siècle, le courant du terroir vient montrer
l'idéologie de conservation, présente au Québec, dont l'objectif est d'assurer la survie de la culture française.
Dans le roman Le Survenant de Germaine Guèvremont, le village du Chenal du Moine vient illustrer cette
idéologie.
En effet, celui-ci représente un village québécois inapte à accepter ni la nouveauté ni le changement.
Nous allons donc prouver que le Survenant, un étranger venu s'installer dans le Chenal du Moine, inspire
principalement la méfiance chez les habitants du village.
Tout d'abord, nous allons démontrer que certains
personnages dont, Amable et Alphonsine, ont peur que le Survenant prenne leur place au sein de leur famille.
Par la suite, nous allons nous pencher sur les passions auxquelles s'adonne le Survenant, la boisson par
exemple.
Pour finir, nous allons constater que, nétant pas un des leurs, les villageois craignent que le
Survenant n'apporte du changement.
Premièrement, le survenant inspire principalement la méfiance chez les habitants du Chenal du Moine.
Par
exemple, chez Amable et Phonsine craignent que le Survenant vole leur place dans la famille et leur travail de la
terre.
En effet, Amable sent que le Survenant a pris sa place chez les Beauchemin le faisant sentir
menacé : «Odilon Provençal répondit: C'est le venant aux Beauchemin.
Amable s'emporta: - Il est pas
plus Beauchemin que toi, Provençal, il est pas Beauchemin pantoute, si tu veux le savoir.
» (p.60) On s'aperçoit.
»
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