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Le mariage et le dais nuptial (la Houpa)Le mariage se célèbre en présence de deux témoins, les mariés étantréunis sous un dais nuptial que l'on appelle Houpa.

Publié le 23/05/2020

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« Le mariage et le dais nuptial (la Houpa) Le mariage se célèbre en présence de deux témoins, les mariés étant réunis sous un dais nuptial que l’on appelle Houpa.

La cellule familiale, et non l’individu, constitue le plus petit noyau de la société juive.

C’est une obligation de la Tora de se marier et de mettre des enfants au monde. La famille commence le jour du mariage.

Les symboles et les coutumes liés à ce jour et au dais nuptial sont nombreux et très différents suivant l’origine communautaire.

Les anneaux de mariage peuvent être parfaitement circulaires ou bien un peu carrés à l’extérieur suivant une coutume cabalistique.

Quoi qu’il en soit, toutes les coutumes ont pour but commun d’attirer la bienveillance sur le jeune couple et de lui souhaiter un mariage fécond. Le jour du mariage, certaines personnes ont coutume de jeûner, car elles considèrent que ce jour ressemble à Kippour en ceci qu’il les purifie de toutes leurs fautes passées et ils se retrouvent sous le dais, purs comme des nouveau-nés.

La jeune épousée s’est immergée au Miqvé quelques jours avant son mariage afin d’être physiquement pure en cette date importante.

Elle est souvent vêtue de blanc, mais ce n’est pas une obligation.

Cette tradition, adoptée maintenant dans presque tous les pays, trouve son origine dans une loi rabbinique interdisant que les mariées soient trop richement parées, pour ne pas faire honte à celles qui n’auraient pas les moyens de se confectionner ou d’acheter de beaux vêtements pour leur mariage.

La robe de mariée blanche est comme une sorte d’« uniforme » et permet, en ce jour sacré, d’effacer les différences sociales.

Toutes les mariées se sentent ainsi véritablement les reines de la fête… Sous le dais nuptial, le mariage est généralement célébré par un rabbin qui récite les deux bénédictions de Eroussin ou Quiddouchim sur une coupe de vin.

Les deux fiancés boivent la coupe, le ‘Hatan passe un anneau à l’index de la main droite de la Cala en récitant la phrase appropriée, puis on lit la Ketouva ou contrat de mariage.

Dans de nombreux mariages, c’est aussi le moment du discours.

On passe ensuite à la cérémonie des Nissouïn avec ses sept bénédictions sur une seconde coupe de vin.

On conclut généralement par un geste qui commémore la destruction du temple de Jérusalem : le jeune ‘Hatan brise un verre sous son pied.

On conduit ensuite les jeunes époux à une pièce privée où ils s’isolent quelques instants pour symboliser leur nouvelle intimité.. »

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