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Le gai savoir, Nietzsche - le travail

Publié le 07/03/2022

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« Mortaza Laila TG4 Commentaire de texte Dans ce texte extrait Le gai savoir , Nietzsche traite la question du travail.

Selon lui, l’Homme travaille principalement pour répondre à des besoins personnels sans véritable épanouissement.

Il met en avant l’existence de deux sortes de travailleurs : celui qui, par la réalisation de son travail ne semble pouvoir être heureux et même semble ne pas vouloir accéder au bonheur seulement procurer « un gain abondant » c’est-à-dire assez d’argent qui leur apporte un bénéfice alors que l’autre semble épanouis dans cette activité.

De plus cette confrontation entre ces deux types d’Hommes et aussi une confrontation entre deux attitudes à l’égard du travail.

Peut-on toujours être heureux en travaillant ? Le travail aurait-il une autre fonction que de subvenir aux besoins de l’homme ? Or, Le travail signifie l’ensemble des activités par lesquelles l'homme satisfait ses besoins et transforme la réalité.

Nietzsche présente dans cet extrait un paradoxe entre la plénitude et l’ennui du travail. Le travail serait-il un besoin vital pour vivre ? Dans un premier temps, nous verrons la manière dont l’auteur décrit de façon générale le travail (l.

1-10).

Puis, nous verrons en quoi le travail pourrait procurer de l’ennui chez certains hommes (l.

10-18).

Nous pensons comme la majorité des individus que le travail est seulement pour nous « récompenser » notamment par le salaire sans prendre aucun plaisir et l’on oubli même tous les efforts fournis.

Comment justifiez ceci ? Nietzsche débute son texte par présenter cette majorité d’homme provenant des « pays de civilisation » (l.1) qui ne s’intéresse qu’au travail car seulement celui-ci leur garantit la perception d’un gain et oublie même le plaisir comme il nous le précise « ils cherchent du travail à cause du salaire » (l.2).

En effet nous sommes dans une société où le travail est un besoin vital, dans la mesure où c’est grâce au travail que l’on obtient un salaire que nous pouvons avec, nous nourrir, loger, s’habiller… On doit en quelque sorte consommer pour vivre.

On constate que le travail n’est même plus un accomplissement ou même un but mais n’en est que le moyen : « le travail est un moyen et non le but lui-même » (l.2-3).

Les Hommes sont difficiles à satisfaire, on pourrait dire que le terme « plaisir » n’a pas sa place dans leur vie.

Nous pouvons nous demander pourquoi ces hommes sont autant obséder par l’argent ? Cet argent est-il un réel besoin ou bien la société nous l’impose sans que nous nous en rendions compte ? Les Hommes ne travaille pas seulement pour être actif toute une journée mais pour obtenir un « gain abondant ».

Ils ne choisissent pas un métier dans lequel ils pourraient être heureux, mais ils regardent avant toute chose leur bénéfice sans pour autant se regarder soi-même c’est-à-dire leur capacité et leur force physique ainsi que leur santé mentale: « c’est pourquoi ils mettent peu de finesse au choix du travail.

» Or Nietzsche ne voit pas la notion du travail de la même manière.

D’après lui, il existe des exceptions d’hommes qui n’associe pas le travail au salaire.

En effet, le salaire n’étant pas le but recherché, mais le travail en lui.

Ils favorisent donc le travail qui leur plait et leur procure un plaisir.

On s’aperçoit ici qu’ils n’attendent pas un salaire correspondant à leurs besoins, peu importe le travail douloureux ou difficile.

Chez certains Hommes la satisfaction du travail est tellement importante qu’ils seraient prêts à mourir s’ils ne sont pas heureux : « il y a des hommes rares qui préfèrent périr plutôt que de travailler sans que le travail leur procure de la joie » (l.4-5).

Pour eux le. »

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