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LE DEUXIÈME SUJET : CONSEILS GÉNÉRAUX

Publié le 29/06/2020

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« ? Dans le même esprit, on évitera de proposer des textes qui, par la singularité du propos ou la bizarrerie de l'écriture, auraient le caractère d'une énigme réservée aux seuls initiés. Le texte retenu ne doit à aucun titre déconcerter. Tout candidat qui a sérieusement appris à lire des textes littéraires, réfléchi sur la méthodologie de la lecture et acquis un vocabulaire technique simple doit pouvoir aborder l'exercice avec des chances raisonnables de réussite. 2. Le libellé dusujeta pour fin de faciliterles démarches du candidat. On lui suggère non un plan à suivre mais quelques points de départ pour une lecture efficace. On attire son attention sur tels caractères de la facture du texte dont l'examen peut conduire à mieux saisir ses significations essentielles. Ces indications ne peuvent être exhaustives. Elles ne sont à aucun degré impératives ou contraignantes. Elles laissent au candidat toute liberté d'orienter autrement sa lecture, de l'ordonner, de l'élargir, de l'approfondir selon le sentiment qu'il a du texte. ...»

« LE DEUXIÈME SUJET · CONSEILS GÉNÉRAUX INSTRUCTIONS OFFICIELLES Commentaire composé d'un texte littéraire ■ L'épreuve porte sur un texte choisi en raison de sa qualité littéraire.

Le candidat est invité à rendre compte de la lecture personnelle qu'il en a faite, c'est-à-dire de la façon dont il découvre, ressent et comprend cette qualité. 1.

Il convient donc de choisir un texte dont la dimension soit autant que possible de l'ordre d'une vingtaine de lignes ou de vers.Un texte trop court contraindrait le commentaire à une minutie exténuante.

Trop long, il mettrait le candidat dans l'impossibilité d'accorder au style etau détail de l'expression l'attention précise que requiert la lecture d'un texte littéraire. ■ Ce texte ne doit comporter aucune coupure.

Une coupure en déchirerait la trame et rendrait aléatoire toute analyse des effets littéraires. ■ Il doit pouvoir être compris et apprécié sans que soit nécessaire la connaissance de l'œuvre dont il est tiré.

Toutes les informations indispensables sont fournies avec le sujet : titre de l'œuvre, date de sa publication et, si besoin est, indications sur le contexte précis dans lequel le passage prend sens. ■ Dans le même esprit, on évitera de proposer des textes qui, par la singularité du propos ou la bizarrerie de l'écriture, auraient le caractère d'une énigme réservée aux seuls initiés.

Le texte retenu ne doit à aucun titre déconcerter.

Tout candidat qui a sérieusement appris à lire des textes littéraires, réfléchi sur la méthodologie de la lecture et acquis un vocabulaire technique simple doit pouvoir aborder l'exercice avec des chances raisonnables de réussite. 2.

Le libellé du sujeta pour fin de faciliter les démarches du candidat.

On lui suggère non un plan à suivre mais quelques points de départ pour une lecture efficace.

On attire son attention sur tels caractères de la facture du texte dont l'examen peut conduire à mieux saisir ses significations essentielles.

Ces indications ne peuvent être exhaustives.

Elles ne sont à aucun degré impératives ou contraignantes.

Elles laissent au candidat toute liberté d'orienter autrement sa lecture, de l'ordonner, de l'élargir, de l'approfondir selon le sentiment qu'il a du texte. ■ Pour que ce libellé remplisse sa fonction, il convient de le rédiger avec un soin particulier.

Il ne devra pas laisser croire qu'un texte littéraire ne fait que «traduire» un sens préexistant.

Il pourra au contraire suggérer (dans l'esprit des instructions en vigueur 11 l) que, dans un texte littéraire, la «facture est génératrice du sens». C'est la raison pour laquelle une étude séparée du «fond» et de la «forme» laisserait échapper l'essentiel.

La signification est inséparable de la forme qui la constitue et qui la propose. 3.

Il est nécessaire que le commentaire soit composé.

C'est-à-dire qu'il doit pré­ senter avec un ordre un bilan de lecture organisé de façon à donner force au jugement personnel qu'il prépare et qu'il justifie. ■ Plusieurs modes d'organisation sont évidemment possibles.

Le commentaire peut se présenter comme un compte rendu qui classe dans un ordre expressif les centres d'intérêt de la lecture.

Il peut s'attacher à caractériser le texte en allant du plus extérieur au plus intime et des observations les plus simples aux impressions les plus personnelles.

Il peut reconstruire les étapes successives de la lecture et de la découverte.

Il peut encore, selon la nature du texte, s'inspirer de ses structures mêmes et de sa composition, s'organiser d'après les effets qui s'y développent.. »

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