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L'ASCENSEUR

Publié le 18/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : L'ASCENSEUR Ce document contient 787 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie.

« Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée ·du Cinéma Mondial L'ASCENSEUR Réa li,;1ti11 c·t ,cé nario ............ .......... .

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Dick MAAS ( 1983) Dir ec te ur de la photogra phie ....... ......... .......

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Marc FIELPERLAAN D éco rs ............ ..... ................ ..... .

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Harry AMME RL AAN Matt hijs VAN HEIJNINGEN Wa rner-Co lumbi a Production ............. ... ..... .... ..

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Di stributi on Dur ée 99 minutes INTERPRÉTA TI 0 N Félix Adelaar Mike de Bee r Huub STAPEL Saskia Ade laar ................................ ..

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Willek e VAN AMMELROOY Josine VAN DALSUM Le directe ur .....

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Piet RO ME R Le chercheur de " Rising Sun » . ..•.....•••.... .... • .

Hans VEERMAN Le directeur de l'entrepri se d'entretien d es asce nse urs ...

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Ab ABSPOEL L'ave ug le .... .... .

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Onno MOLENKAMP Ma nfr ed DE GRAAF Serge Henri VALCKE Sie rn VROOM L'age nt immobili er ..... ........ .... ...... ..

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L e psyc hiatr e ..... .

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L'in sp ec te ur d e po lice ........ .

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L'HISTOIRE Un imm eubl e mod ern e, avec ses quin ze éta ges et ses trois cages d'asce nse ur.

Dans l'asce nse ur central, d eu x pro vin ciaux et d eu x pro stitué es, qui v ie nnent d e quitt er le res taurant s itu é a u derni er é tage , re ste nt bloqués et comm e ncent à éto uffer p a r manqu e d'air conditionné .

Le l endemain, Félix Adelaar, le d épa nneur, v ie nt vérifier les c ir cuit s électriques et n e trou ve aucun e anomalie.

Qu elque s jours après un aveugle appu ie s ur le bouton d'appel.

L a po rt e de l'asce nse ur s'ou vre d eva nt lui mais la cabin e n'es t pa s là.

Il t ombe d a ns le v ide e t s'écrase.

Per sonne ne s'ape rçoit de l'accid ent.

Une nuit , deu x ga rdi en s, éto nnés de vo ir les ascenseurs se me ttre e n m arc h e alo rs qu'ils sont seuls dan s l' imm e ubl e, s'élancent dan s l es escaliers.

A un éta ge , les porte s d es troi s ascen­ se urs s'ou vre nt devant e ux mai s les cabines n e sont pas là .

L'un des gardiens se pen ch e e t d éco u­ v re le cadav re de l'ave u g le .

M ais soudain l es p o rt es se refe rment , lui coinçant la tête pendant que la cab ine de l'asce nse ur le décapite.

La police piétin e e t Fé lix es t intri gué.

Le je un e dépann eur mène son enquê te e t découvr e que le la b oratoi re d'une multinati o nal e a dot é l'a sce nse ur-a ssassin d ' un ce rve au é lectron iqu e.

Il décide d 'en avoir le cœ ur n et, pén ètr e dans la cage d'ascenseur jus­ qu'au coffr et d e commande.

Mais l'asce nse ur est d éc idé à l 'élimin e r.

Une lutte impla cable s'e ngage e ntre l' h o mm e e t la ma chin e int e lligente.

Félix s'ape r çoit que la bo ît e de command e est vid e.

Le ce rvea u élec tronique es t caché ailleurs.

Il cherc he.

La journ aliste qui l 'a, depui s le début sout e nu da ns son enqu ête, lui tendra une main seco urabl e a u moment o ù un e mort atroce l'att endait.

Tout à coup , l' ingéni e ur qui a in venté le cerveau é lec ­ troniqu e surgit et tire avec un revolver s ur la boîte de commande dan s la cabine d e l'asce nse ur.

La machin e s'effo ndre , mai s un câb le vengeur s urgit , l 'étrang l e e t le pend.

LA PETITE HISTOIRE L'AS CENS E UR es/ le premier long mé(/'(1ge d'un jeune cinéas/e hollandais .

Dick Maas qui, jusqu'alors, avai1 1ravaillé dans le dessin animé el à la 1é l évision.

Dick Maas a choisi de réaliser un " 1hriller" à /'américaine : "J'essaie d e faire des films qui ne soie nl pas lrop h ollandai s.

J e liens à peindr e des personnages uni verse l s.

J'aime filmer des scènes d' a c /ion , c r éer d es c/imals d'imenses émo1ions, que ce soif la peur, le rir e ou le drame.

Le 1hrill er es / le genre qu e/ ajjèc1ionne le plu s, ce lui où je peux m e//r e le plus d'hum our noir.

Je pense que j'ai racom é une his10ire une peu à la manière de Don Siegel.

J'ad mir e Spielberg el n on le " sacré » ln gma r Berg m an ...

li es/ ennuyeux!» Le jury du Fes1ival du Film Fan1a s1iq ue d'Av o­ riaz, en janvie r 1984.

marcha à fond dans celle N m•en1u re d'épou1 • an1e bourr ée d'ej]e ls lhocs (une ~ mai n surgissanl de nulle pari ou une cage d' ascen- :; seur descendan1 à 1ou1 e allure sur un homme i!l agr ipp é à la paroi de la cage) .

li a//ribua à ce film .3 hollandais le Grand Prix.

Dick Mas s sai l pwfai1 e- ~ m e/1/ que son film es/ d 'abord une méca niqu e ~ d'épouvanle:" Celle fois-ci ce n'es/ pas un re quin .

.§ mais un ascenseur avec des réac /ions humain es.

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