L’Alaska et la question des ressources : un territoire riche à exploiter ou un milieu fragile à préserver ?

« Histoire-géopolitique Synthèse : L’Alaska et la question des ressources : un territoire riche à exploiter ou un milieu fragile à préserver ? Avec 735 000 habitants et une superficie trois fois plus grande que la France, l’Alaska, plus grand État des États-Unis, est l’une des régions du monde les moins connue concernant l’exploitation et l’extraction d’hydrocarbures et plus particulièrement de pétrole.

Par conséquent, cette exploitation dense soulève une incontestable polémique relative à l’exploitation des hydrocarbures très présents sur le territoire blanc et aux conséquences sur son environnement de plus en plus affaibli. En effet, cette ultime frontière est l’un des états souffrant le plus des conséquences du réchauffement climatique.

Malgré la sévèrité du climat, la faune et la flore de l’Alaska restent toutefois très variées composées de nombreuses espèces animales comme le caribou, l'élan, le loup ou l'ours blanc ...

En supplément, l’Alaska dispose d’imposantes ressources minières telles que l’or ou l’argent mais surtout d’abondants gisements de pétrôle défini comme produit d’exploitation majeur.

De ce fait 90% de son budget annuel provient des hydrocarbures.

De même l’Alaska a transporté depuis 1977, 15 milliards de barils de pétrole.

C’est pourquoi de nombreuses organisations exploitent dans un total mépris les sols sans grandes préocupations de son cadre de vie.

Nous pouvons illustrer cet argument à l’aide de deux grands groupes pétroliers tel que, British Petroleum, en effet pour se fournir BP exploite le troisième plus grand gisement américain situé en Alaska bien qu’un document publié par un site américain affirme que ce site est en danger et que BP ne prend pas du tout soin de la manière de forer les sols.

Charles Fairbanks est également à relever, créateur de la compagnie pétrolière la plus agée de. »