Databac

LA VERITE MEDICALE (7)Claude Bernard, Louis Pasteur, Sigmund Freud: légendes et réalités de notre médecineLouise L.

Publié le 22/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : LA VERITE MEDICALE (7)Claude Bernard, Louis Pasteur, Sigmund Freud: légendes et réalités de notre médecineLouise L. Ce document contient 1495 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Médecine.

« LA VERITE MEDICALE (7) Claude Bernard, Louis Pasteur, Sigmund Freud: lŽgendes et rŽalitŽs de notre mŽdecine Louise L.

Lambrichs Deuxime grande partie ÒClaude Bernard, Louis Pasteur et Sigmund Freud: MŽthodes et rŽalitŽs mŽdicalesÓ Sixime partie Sherlock Holmes, Einstein : Impasses et points aveugles de la pensŽe scientifique La mŽdecine actuelle Žtudie lÕhomme en morceaux, lՎtudier comme un tout est impossible.

Les mŽthodes utilisŽes pour Žtudier ses diffŽrentes parties ont permis ˆ la mŽdecine dÕavancer.

Quelles sont ces diffŽrentes mŽthodes ? Quelle est leur efficacitŽ et leur scientificitŽ ? Comprendre cela, cÕest parvenir ˆ saisir la diffŽrence entre les dŽmarches pasteurienne, bernardienne et freudienne. Une logique trop absolue pour tre honnte.La distinction est faite entre savant et croyant, le premier pense rationnellement avec logique, le second reoit lÕobjet de sa foi sans logique.

Toutefois, Ç si les dŽcouvertes scientifiques rŽsultaient purement et simplement de raisonnements logiques, comment expliquerait-on la saveur singulire des raisonnements de Sherlock Holmes ? È (p.

267).

Ce qui nous sŽduit, cÕest dÕabord le dŽnouement de lÕintrigue policire, mais surtout le mode de raisonnement : dŽcalage entre un esprit affinŽ de dŽduction et une invraisemblance totale dans ses explications.

Le plaisir holmŽsien vient du constat que la pensŽe tourne parfois jusquՈ lÕabsurde bien quՎmanant dÕun raisonnement Ç logique .È Le raisonnement de Sherlock est parfait mais impossible, Ç il suppose entre le raisonnement logique et la rŽalitŽ un rapport de correspondance qui nÕexiste pas (É).

È (p.

268) Sherlock Holmes et la Ç science de la dŽduction È.Sherlock Holmes appara”t comme une personne rŽelle, il eut trois modles : - les inspecteurs Lecoq et Dupin, champions de la dŽduction, personnages de fiction - le professeur Joseph Bell, clinicien rŽputŽ dÕEdimbourg Sherlock Holmes a adaptŽ sa mŽthode de dŽduction : Ç Des yeux qui savent voir, des oreilles qui savent entendre, une mŽmoire capable de saisir sur-le-champ et e rappeler ˆ volontŽ les impressions des sens ainsi quÕune imagination capable de tisser une thŽorie comme de raccommoder une cha”ne rompue ou de dŽmler les indices embrouillŽs, telles sont les qualitŽs requises chez le bon clinicien.

È (Conan Doyle) (p.

271). Watson, mŽdecin, alter ego de Doyle, observe Sherlock Holmes et sՎtonne de sa manire de rŽsoudre les Žnigmes.

Holmes de rŽpondre : Ç ce sont les clients eux-mmes qui mÕen donnent la clŽ.

Ils me racontent des faits et gŽnŽralement, la connaissance que jÕai de lÕhistoire criminelle me permet de rŽsoudre leur problme.

È (p.

272) è Ç cÕest la rŽpŽtition du mme qui met en Žvidence le fil conducteur È, Freud nÕest pas loin ! Ainsi, Sherlock Holmes met en pratique la pensŽe scientifique : il recherche les faits, les donnŽes et Žvite dÕadhŽrer ˆ une thŽorie qui fausserait son jugement.

IL met en relation observation et Ç thŽorie gŽnŽrale explicative qui lui [apporte] une solution opŽratoire, confirmŽe par les faits (É).

È (p.

273) Mais un autre processus mental, autre que la dŽduction, entre en jeu dans le raisonnement scientifique.

1www.mediprepa.com. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles