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LA VERITE MEDICALE (12)Claude Bernard, Louis Pasteur, Sigmund Freud: légendes et réalités de notre médecineLouise L.

Publié le 22/05/2020

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« LA VERITE MEDICALE (12) Claude Bernard, Louis Pasteur, Sigmund Freud: lŽgendes et rŽalitŽs de notre mŽdecine Louise L.

Lambrichs Deuxime grande partie ÒClaude Bernard, Louis Pasteur et Sigmund Freud: MŽthodes et rŽalitŽs mŽdicalesÓ Conclusion Pour quel enseignement ? A LIRE EN ENTIER Constat de lÕauteur : la politique franaise dՎducation ne forme Ç des individus ˆ penser leurs choix individuels mais fabrique les compŽtences requises pour le marchŽ du travail.

È (p.447) è InanitŽ de cette politique : ch™mage et appauvrissement culturel des individus. En mŽdecine spŽcifiquement, on a privilŽgiŽ les matires scientifiques au dŽtriment des matires littŽraires, celui qui veut devenir mŽdecin aujourdÕhui doit, ds seize ans choisir une filire spŽcifique.

Ds son entrŽe dans les Žtudes mŽdicales, on ne lui donne pas ˆ penser son futur mŽtier, on fait de lui un technicien. Certes, la mŽdecine est une technique mais dÕun genre particulier puisque cÕest une technique ˆ responsabilitŽ : le mŽdecin est non seulement responsable de ses savoir-faire mais aussi de la dŽcision de leur mise en application, du moment et du contexte dans lesquels elle devra intervenir. La mŽdecine, cÕest donc un savoir-faire et un savoir-juger.

Le savoir-juger, dŽnonce lÕauteur, ne Ç devrait pas se limiter ˆ la connaissance clinique, qui fait partie intŽgrante du savoir mŽdical pris comme rŽfŽrence dernire, mais, sÕexercer en amont de ce savoir, de faon ˆ en apercevoir et lÕimpact et les limites.

Ç (p.449) Pour ce faire, lՎtudiant en mŽdecine devrait recevoir un enseignement de base qui : - forme son jugement - dŽveloppe ses facultŽs critiques - lui apprenne ˆ construire un raisonnement scientifique (physique, chimie, statistique, biophysique, biochimie) et la mŽmoire (biologie animale, biologie cellulaire, anatomie, histologie, embryologie, physiologie,É) È Quels avantages ˆ un tel enseignement ?1) Le futur mŽdecin pourrait situer le savoir mŽdical ˆ lÕintŽrieur dÕun contexte plus large, et en mesurer les tenants et les aboutissants 2) Cette Ç conscience ŽclairŽe È limiterait les dŽrapages : certains mŽdecins, les Žtudes terminŽes, doutent de leur formation et sÕorientent vers des pratiques empiriques 3) Une telle formation remŽdierait ˆ Ç lÕinculture croissante dans le corps mŽdical È, Ç culture comme savoir et conscience de notre propre histoire È, Ç elle serait la premire exigence dÕune Žthique mŽdicale.

È Cette formation devrait dit Lambrichs, Ç intervenir au dŽpart des Žtudes sous la forme dÕune propŽdeutique .

È (p.450)1/2www.mediprepa.com. »

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