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LA VERITE MEDICALE (2)Claude Bernard, Louis Pasteur, Sigmund Freud: légendes et réalités de notre médecineLouise L.

Publié le 22/05/2020

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« LA VERITE MEDICALE (2) Claude Bernard, Louis Pasteur, Sigmund Freud: lŽgendes et rŽalitŽs de notre mŽdecine Louise L.

Lambrichs Premire partie Contes et lŽgendes de la mŽdecine I.

HISTOIRE ET VERITE. LÕhistoire: ragot et vŽritŽ LÕauteur rappelle un fait divers: lÕassassinat tragique de M.

et Mme Lancelin par deux sÏurs, servantes, les sÏurs Papin, dans le but de montrer que, dՎvnements passŽs, le non-spŽcialiste nÕa pas le pouvoir de dŽmler le vrai du faux, lÕobjectif du subjectif, le ragot de la vŽritŽ.

CÕest lÕensemble de chaque paire qui constitue ce quÕon appelle une histoire (conte ou lŽgende selon le contexte).

(p.51) LÕhistoire des sciences Ð et celle de la mŽdecine Ð est elle aussi construite de faits rapportŽs. QuÕest-ce que la vŽritŽ historique ? Il nÕexiste pas de vŽritŽ historique nous dit lÕauteur, pas dÕobjectivitŽ de lÕhistoire, pour la simple raison que lÕhistoire, cÕest choisir des faits, volontairement ou non, cÕest lÕimprimer dans une Žpoque, un Žtat dÕesprit Òle regard de son temps (p.52), et donc tre subjectif.

Si vŽritŽ il existe, ce nÕest pas celle du passŽ mais celle du prŽsent qui Žclaire le passŽÓ. Par consŽquent, lÕhistoire Žvolue, seuls les mythes et lŽgendes, inchangŽs ˆ travers le temps et (col)portŽs de manire identique, peuvent prŽtendre au titre de ÒvŽritŽ gŽnŽraleÓ (p.53). Il en va de mme de lÕhistoire des sciences.

Elle suit un cheminement, une progression de la dŽcouverte, et, ce qui Žtait vrai ˆ un moment donnŽ, pourrait bien ne plus lՐtre ˆ un autre.

Il y a des nuances liŽes ˆ lՎvolution de la dŽcouverte. Ainsi de Claude Bernard (dŽcouverte de la glycogŽnique du foie), de Pasteur (dŽcouverte du vaccin contre la rage) et de Freud (invention de la psychanalyse), seul le dernier participe dÕune vŽritŽ absolue, parce que son savoir est invention et non pas dŽcouverte. A quoi bon lÕhistoire ? Si lÕhistoire progresse sans cesse, ˆ quoi bon lՎtudier ? Si on peut continuer ˆ agir sans elle, ˆ quoi bon lՎtudier ? Pour rŽpondre, Lambrichs Žcrit: ÒlՎtude de lÕhistoire des sciences (est) non seulement passionnante, mais utile pour une comprŽhension plus large (É) du fonctionnement des disciplines scientifiques.

Ò (p.55).

Ç lÕhistoire est riche en enseignements È (p.56) Une vŽritŽ globalement vraie et partiellement fausse LÕhistoire comprend ˆ la fois: - une vision dÕensemble, une ÒvŽritŽ gŽnŽraleÓ, vraie globalement qui cherche ˆ convaincre (cÕest le discours de lÕenseignement) - un ensemble de faits, souvent faux dans le dŽtail qui cherche ˆ apprendre (cÕest le discours du spŽcialiste) La vŽritŽ historique est ces deux choses conjointes.1www.mediprepa.com. »

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