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la science

Publié le 15/02/2022

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Remarque sur la notion d’épistémologie : du grec episteme : « science » et logos : « discours » (« discursivité » : qui procède du raisonnement, de la raison). Sens large : usité surtout dans les pays anglo-saxons . Analyse ou étude des processus généraux de la connaissance. Epistémologie est alors synonyme de théorie de la connaissance. Sens strict : surtout usité en français : analyse de l’esprit scientifique : étude des méthodes, des crises, de l’histoire des sciences modernes ; étude philosophique d’une science particulière (on parle alors, en ce sens, d’épistémologie des mathématiques, de l’histoire, etc..) L’essor de l’épistémologie est associé au développement scientifique du XIXè siècle (révolution industrielle). Mais les grandes crises scientifiques de la fin du XIXè siècle et du début du XXè siècle (théorie de l’évolution en biologie, de la relativité et mécanique quantique en physique…), remettent en cause les normes communément admises de la rationalité scientifique, telles qu’avait pu les énoncer, en 1867, Claude Bernard dans son Introduction à la médecine expérimentale.Ces bouleversements impliquent-ils qu’il n’y a pas de raison scientifique éternelle ? Que chaque science construit historiquement son objet, contre les évidences antérieures et celles du sens commun (la doxa), en surmontant ses propres obstacles ? Telle est la voie exlorée par G. Bachelard qui forge le concept 1- d’obstacle épistémologique : ensemble de représentations scientifiques ou non-scientifiques, empêchant une science donnée, à un moment donné, de poser correctement les problèmes et de progresser. 2-de rupture épistémologique : acte intellectuel par lequel une science surmonte ses obstacles épistémologiques en remodelant ses principes explicatifs. La science perd alors son unité ; l’esprit scientifique est sans cesse à reconstruire. De là existe-t-il une logique de la découverte scientifique comme le pose K. Popper (titre de son ouvrage) et une unité méthodologique de la science ? Telles sont les questions qui animent la science contemporaine. INTRODUCTION : Démarches d’investigation du réel, raison et expérience s’appliquent aux sciences de la nature ou science physiques (du Grec « phusis », nature), sciences qui se proposent de connaître les phénomènes de la nature, le monde réel. Si raison et expérience s’avèrent être une démarche d’investigation pour connaître le réel, elles posent non seulement la question du REEL, mais aussi celle de la CONNAISSANCE qui CRÉE SON OBJET de SAVOIR : à quelles conditions une connaissance est-elle possible ? Lorsqu’un phénomène apparaît, il se donne à connaître par l’expérience que peut en faire notre perception. S’il apparaît que c’est de l’expérience que nous devons partir (car le phénomène constitue le DONNE soumis à notre perception), on peut se demander si l’expérience seule suffit comme DONNE, propre à FONDER UNE CONNAISSANCE DU REEL. Connaître consiste pour un SUJET, à investir un OBJET de SAVOIR, à le CONSTITUER dans le champ de sa conscience, comme un OBJET DE CONNAISSANCE. Or, comment cela peut-il être possible si le sujet en reste au donné phénoménal de la perception immédiate, c’est-à-dire à une expérience SENSIBLE limitée à la réceptivité et à la constation pure et passive des phénomènes énumérés les uns après les autres ? S’il appartient au sujet d’investir un objet comme objet de connaissance, on peut penser que l’expérience seule ne suffit pas car dans / par l’expérience, le sujet fait ACTE DE CONNAISSANCE (il constitue l’objet de son investigation en objet de connaissance) : c’est donc que dans l’expérience sujet et objet se constituent et qu’il ne peut y avoir de science sans conscience. La raison théorique précède-t-elle l’expérience, lui succède-t-elle, la sous tend-elle ou lui est-elle contemporaine ? La raison est-elle le signe de la CONNAISSANCE RATIONNELLE ?

« Mme DOMINGUEZ Liria L A S C I E N C E Théorie et expérience Démonstration et vérité Matière et esprit Remarque sur la notion d’épistémologie INTRODUCTION I.L’EXPÉRIENCE a) Les différents aspects de l’expérience (Die Erfahrung / Das Experiment) b) L’empirisme : les théories classiques de l’induction [logique / méthode / vérité / croyance] c) Insuffisances de l’empirisme : nécessité de la Raison (Galilée-Kant) II.

NATURE DES FAITS SCIENTIFIQUES (Bachelard) a) Esprit scientifique [vérité] et opinion commune [croyance] b) Les faits scientifiques [méthode / vérité / logique] III.

LA LOI : DÉTERMINISME ET PROBABILITÉ (Heisenberg – Einstein) a) La loi (Max Planck – Louis de Brooglie) [vérité] b) La question du hasard [logique et vérité] CONCLUSION 1. »

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