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La peste, Camus

Publié le 23/05/2020

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« Sujet 1 : commentaire de texte Introduction C'est au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en 1947, alors que l'auteur est déjà connu pour son roman L'Étranger, que Camus fait paraître La Peste.

Ce roman raconte la progression et les ravages d'une épidémie de peste dans la ville d'Oran.

Face au fléau, les hommes adoptent des réactions différentes : peur, lutte, résignation ou recherche du profit animent les personnages dans cette situation d'exception qui n'est pas sans rappeler par certains aspects la guerre qui vient de s'achever.

Le docteur Rieux, au centre de l'histoire, combat sans relâche contre la maladie.

Cependant, alors que l'épidémie s'est officiellement éteinte, à la fin du roman, son ami Tarrou est touché lui aussi par la peste : il sera le dernier mort.

Son agonie et l'impuissance du médecin donnent lieu à une scène particulièrement émouvante, qui est aussi l'occasion pour le narrateur de méditer sur le « silence de la défaite ».

En quoi cette scène d'agonie dramatique prend-elle la dimension d'une réflexion sur l'homme ? Nous verrons tout d'abord comment le narrateur parvient à évoquer la mort de Tarrou et à dire ce qui semble « indicible ».

Nous observerons ensuite la souffrance des personnages.

Enfin, nous étudierons le caractère tragique du monde qui est évoqué dans ce passage. I.

La mort de Tarrou : dire l'indicible 1.

La dramatisation de la mort La mort de Tarrou, le meilleur ami de Rieux, constitue un passage important du roman, d'autant plus frappant que cette mort survient à la fin de l'épidémie.

La scène de son agonie repose sur une forte tension dramatique. De façon remarquable et symbolique, la fièvre atteint son apogée à l'heure où le soleil est à son zénith, « à midi ».

À partir de cet instant, la mort de Tarrou progresse de façon inéluctable, comme le suggèrent plusieurs comparatifs accentuant la dégradation de l'état du malade.

« Ses yeux [s'ouvrent] de moins en moins souvent », leur éclat est « plus pâle à chaque fois » et ses convulsions se font « de plus en plus rares ».

Les. »

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