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LA CONSCIENCE. L'INCONSCIENT.

Publié le 01/07/2020

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« Si les psychologues ont pris l'habitude de définir l'activité volontaire par opposition à l'activité réflexe ou automatique, la question de la nature et de la valeur distinctive de la volonté n'est pas pour autant résolue. Toute esquisse de définition, en l'occurrence, engage une certaine conception de l'activité mentale et, par-delà, une certaine idée de l'homme. L'anthropologie philosophique est concernée, qui associe une réflexion sur les déterminations dont relève l'homme et une approche des fins qu'il se donne. La question de la volonté n'est pas seulement solidaire de celle de la liberté : elle revêt d'emblée une signification ontologique essentielle, comme le montre Kant en distinguant « ce que la nature fait de l'homme » et « ce que l'homme fait de lui-même » (cf. Anthropologie). — Première approche : la volonté comme faculté spécifique, dont l'efficace propre signale d'emblée l'originalité de l'être humain. Aristote : « Avoir en soi-même le principe de ses actes, c'est 'avoir aussi en soi la possibilité de les exécuter ou non » (Éthique à Nicomaque, III, 1, § 6). Faculté spécifique d'être à l'origine d'actions définies, la volonté ne se distinguerait pas du désir ou de l'instinct si elle ne comportait pas cette dimension de conscience réfléchie qui en fait une donnée proprement humaine. Aristote écrit un peu plus loin : « Ce qui est volontaire semble être ce dont le principe se trouve dans l'agent qui connaît toutes les circonstances particulières de l'action » (idem, III, 1, § 20). Une telle définition du volontaire interdit toute conception mécaniste de la volonté, dont les décisions seraient nécessairement déterminées, comme par exemple les mouvements d'une balance en fonction des poids posés sur les plateaux. On peut donc dire, à la limite, qu'une action est plus ou moins volontaire selon qu'elle est plus ou moins fondée sur une connaissance lucide et réfléchie. Ce qui suppose mise à distance (cf. Hegel : le moi pose ses déterminations et ...»

« ■LA CONSCIENCE.

L'INCONSCIENT. 1 R EP ÈR ES 1 �A CONSCIE NCE ET L'IN CONSC I ENT :.

.

LE DYNAMISME DE LA VIE P SYCHIQUE.

• LA CONSCIENCE.

La notion de conscience possède, principalement, deux accep­ tions : l'une, psychologique; l'autre, morale.. »

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