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La bioéthique, ses enjeux, son histoire, ses thèmes

Publié le 01/05/2024

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« La bioéthique, ses enjeux, son histoire, ses thèmes Le concept de bioéthique est apparu en 1970 grâce au biochimiste, Van Rensselaer Potter.

Ce concept a été inventé car la science évoluait de plus en plus et il était important de lui et selon lui il été important de prêter attention à des valeurs morales a n de la limité. De nos jours la signi cation de ce therme englobe l’ensemble de l’éthique des soins de la santé.

La bioéthique a été mise en place pour évité l exploitation de l Homme dans le cadre des recherches médicale notamment lors de la seconde guerre mondial lorsque les nazis effectuaient des recherches sur les hommes déporté dans des camps.

Ces recherches ont d ailleurs pris n grâce au traité de Nuremberg signé en 1947. De plus elle a été mise en place pour évité la maltraite ce humaine et animale et pour limitée et controlée l’apparition de technologies médicales qui interrogent des valeurs communément admises. Potter a conçu cette nouvelle discipline, pour créer un lien entre les ‘faits’ et les ‘valeurs’. Selon lui, durant la seconde moitié du XXe siècle, le savoir et les moyens techniques dans le domaine des sciences de la vie n’avaient cessé de se développer, alors que la ré exion sur les valeurs en jeu n’avait pas progressé dans la même mesure. Nous allons dé nir le concept de bioéthique pour cela nous allons d’abord abordé la partie.

« Éthique »: L’éthique est une ré exion sur les valeurs humaines : la vie, la mort, le respect de la personne, la liberté, la con dentialité, etc...

Elle repose sur la ré exion, les qualités humaines et l’ouverture.

Elle fait aussi progresser l’universalité et l’empathie envers tout autre que soi. Elle est le fruit d’une ré exion collective, d’échanges et de débats.

C’est une démarche active, qui peut et doit évoluer dans le temps.

Elle amène à formuler les questions de manière à permettre à chacun de trouver la réponse la mieux adaptée, dans une situation donnée, au respect et au bien-être de l’autre. On perçoit bien la différence entre la loi et l’éthique, la loi civile est un impératif le imposé par la société dont le non-respect expose à une punition.

Cependant, «notre conscience est au-dessus de la loi, et tout ce qui est légal n’est pas forcément moral » (Ph. Barbarin)...

et c’est là que peut intervenir la ré exion éthique. fl fl fi fl fi fl fi fl fi fi fi Puis nous allons dé nir ce qu’est la bioéthique Bioéthique de « bio » du grecque vie et de « éthique » du latin morale ou ce qui est relatif a la moral.

C’est l’étude de la conduite humaine dans les sciences de la vie et de la santé donc dans les expérimentations et dans les étude, donc examinée quels sont les valeurs et les principes moraux de ses sciences . Ainsi depuis les années 1970, le développement des sciences et de la recherche médicale, appliquées à l’homme et a des cobayes sous formes d’expérimentations , a rapidement imposé d’associer la rigueur scienti que et règles éthiques a n d’éviter des débordements morales ainsi la bioéthique est née et a évolué sur quatre principes aujourd’hui bien connus : -le respect de l’autonomie du sujet (capacité du sujet à décider, consentement) -le respect de la bienfaisance (obtention de conséquences favorables) - le respect de la non-malfaisance, et de l ’équité. Plus récemment la considération est entré en jeu , c’est-à-dire le respect de l’homme et de son environnement.

Mais cette bioéthique se réfère a un code de bonne conduite qui a était rédigée il y a plusieurs millénaires par le grecque Hippocrate dans le « corpus hippocratique » En l’absence de «paix dans le monde des concepts»qui fournirait à la fois un code de bonne conduite et une grille hiérarchisée des valeurs, la bioéthique doit se référer à la fois à une tradition hippocratique pluri millénaire et à un large consensus déontologique. En n nous allons abordé les principes de la bioéthique.

Les médecins et autres personnels soignants sont appelés à prendre des décisions concernant la santé de leurs patients.

Ils prennent en considération des valeurs, par exemple, qu’un état génère des sou rances ou menace l’existence du patient, ou qu’il nuit de quelque autre manière à son bien-être.

Nous avons toujours le devoir de promouvoir et d’appliquer des valeurs. Certaines valeurs vont cependant contre certaines lois et en remettent en cause.

Mais toutes ces valeurs ont permis de créer la DUBDH, adoptée à l’unanimité et par acclamation par la Conférence générale le 16 octobre 2003. La Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de l’UNESCO énonce 15 principes de bioéthique : fi fi ff fi fi ff fi ff • Dignité humaine et droits de l’homme • E ets béné ques et e ets nocifs • Autonomie et responsabilité individuelle • Consentement • Personnes incapables d’exprimer leur consentement • Respect de la vulnérabilité humaine et de l’intégrité personnelle • Égalité, justice et équité • Non-discrimination et non-stigmatisation • Vie privée et con dentialité • Respect de la diversité culturelle et du pluralisme • Solidarité et coopération • Responsabilité sociale et santé • Partage des bienfaits • Protection des générations futures • Protection de l’environnement, de la biosphère et la biodiversité. Nous allons abordé le thème de « l’amélioration de l‘espèce humaine représente elle un progrès pour l’humanité » avec comme problématique le fait que l’homme est prêt a tout pour plus.

(Projet d’interview d’une pharmacienne sur ces sujets) C’est pourquoi nous allons abordé des thèmes qui engagent à la ré exion: Le suicide assisté fi ffi fl fi ffi ff fl ff fi ffi Le suicide assisté est une pratique controversée qui implique la participation d'un professionnel de la santé dans le processus de suicide d'un patient. Cette pratique est légale dans certains pays, mais elle est interdite dans d'autres.

Le débat sur le suicide assisté est complexe et comporte des considérations éthiques, médicales, juridiques et sociales. D'un point de vue éthique, le suicide assisté pose des questions fondamentales sur la valeur de la vie humaine et le droit des individus à décider de leur propre mort.

Certains soutiennent que le suicide assisté est une forme d'autonomie personnelle qui permet aux patients de mettre n à une vie qui est devenue insupportable en raison de la douleur, de la maladie ou d'autres facteurs.

D'autres.... »

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