Kiribati (2001-2002)

« Kiribati (2001-2002) La vente de passeports et de permis de résidence, principalement aux ressortissants chinois, a rapporté 1,3 million de dollars à l'archipel en 2001. En août, le gouvernement de Kiribati a accordé à la Chine une licence de pêche dont le montant était tenu secret. Kiribati (2002-2003) Les partisans du président Teburoro Tito ont perdu 14 sièges lors des législatives (29 novembre-6 décembre 2002).

Toutefois, T.

Tito a été réélu lors de l'élection présidentielle tenue le 23 février 2003.

Mais le 28 mars 2003, le vote d'une motion parlementaire de censure l'a déposé. Les partisans du président Teburoro Tito ont perdu 14 sièges lors des législatives (29 novembre-6 décembre 2002).

Toutefois, T.

Tito a été réélu lors de l'élection présidentielle tenue le 23 février 2003.

Mais le 28 mars 2003, le vote d'une motion parlementaire de censure l'a déposé. Kiribati (2004-2005) L’archipel a accueilli, en mai 2005, Chen Shui-bian, président de Taïwan, lors de sa tournée régionale visant à obtenir des reconnaissances diplomatiques aux dépents de la Chine populaire.

Des traités de coopération ont été signés. Kiribati (2003-2004) L’archipel est devenu le dernier terrain d’affrontement entre la Chine populaire et Taïwan.

Fin 2003, le gouvernement de Kiribati établissait officiellement des relations diplomatiques avec Taïwan, provoquant la colère de Pékin.

En juin 2004, le gouvernement taïwanais annonçait qu’il prenait le relais concernant le financement des travaux de construction d’un complexe sportif (3,5 millions d’euros), après le désistement de la Chine populaire.

Les travaux devraient être achevés d’ici la fin 2006. Kiribati (2005-2006) En dépit des exhortations des grands voisins de la région, Kirabati a compté parmi les États « pro-chasse », conduits par le Japon, la Norvège et l'Islande, au sein de la Commission baleinière internationale (CBI), réunie à St.

Kitts et Nevis (Caraïbes), en juin 2006.. »