Les inégalités de richesses dans le monde
Publié le 23/05/2020
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«
Ae lanoe
TESC
Etude de document Géographie
Les inégalités de richesses dans le monde sont présentes depuis toujours.
Cependant,
comme le montre l’étude sur la part des pays dans le PIB mondial faites par FMI en 2016, ces
inégalités ne cessent d’évoluées.
De multiples moyens sont employés pour tenter de les
représenter le plus simplement et explicitement possible : des tableaux, des graphiques, des
cartes…
Les inégalités de richesses évoluent depuis toujours avec la mondialisation et la situation
économiques, sociales … des pays.
Par ailleurs ces différences de richesses se constatent
également à l’échelle des continents.
Avant 1950, l’Asie détenait une part insignifiante du PIB
mondial tandis que l’Europe Occidentale représentait à elle seule plus du quart.
En revanche,
le PIB mondial n’est pas réparti équitablement sur tous les continents et la comparaison de
l’Amérique du Nord avec l’Amérique du Sud le démontre.
L’étude du FMI en 2016, donne
sous forme de tableaux les parts du PIB mondial dans les pays des années 1950, 1990 et
2015.
De 1950 à 1990, des pays retenant la plus conséquente part du PIB mondial perdent
de l’importance au profit de l’évolution d’autres pays comme le Japon qui passe de 3 à 14%.
En 2015, la loi des Grands aies brouillés par la fulgurante évolution de pays plus en difficultés
au cours du 20 ème
siècle.
Ainsi, la Chine présente la croissance la plus impressionnante avec
une part de 15.1% en 2015 contre 2% en 1990.
Par opposition les pays d’Europe occidentale
et les Etats-Unis on vu leur pourcentage diminué.
En 2015, les inégalités de richesses
semblent s’être réduites.
Cette étude du FMI est complétée par une représentation
cartographique de la répartition du PIB mondial en 2015 où l’on peut lire approximativement
le PIB par habitants dans chaque pays du monde.
L’Amérique du Sud, L’Europe Occidentale et
l’Océanie affichent les plus forts PIB entre 25000 et 92270 dollars par habitants et le
continent africain, le plus faible, avec environ 272 à 2000 dollars par habitants.
D’autre part, la représentation cartographique d’un phénomène permet d’analyser et de
comprendre un évènement dans sa globalité d’un seul coup d’œil.
L’élaboration d’une carte
demande de la réflexion afin de choisir la projection, le fond de carte, des figurés, des
couleurs qui rendront la carte la plus éloquente possible.
Le cartographe cherche à simplifier
un phénomène en le dessinant.
Néanmoins ce n’est pas toujours le cas.
La représentation
cartographique compte plusieurs limites.
L’analyse globale qu’elle permet reste pour autant
évasive car elle empêche la précision des données.
Par exemple, le FMI a choisi de présenter
le PIB par habitants des pays par la couleur, ce qui permet de mieux repérer les inégalités
mais qui fait obstacles aux données exactes et empêchera, par exemple, la comparaison de
deux pays d’une même couleur..
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