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"incipit" l'homme qui rit de Victor Hugo

Publié le 09/05/2021

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« Commentaire de texte: « Incipit », L’Homme qui rit Victor Hugo Le contemporain Victor Hugo publie en 1869 le roman L’Homme qui rit . L’influence de ses écrits marquera un grand nombres d’écrivains et de poètes. Victor Hugo participera indirectement à la création de la Parnasse et du Symbolisme par l’intermédiaire de Baudelaire.

Il dressera également les codes du roman classique pendant une longue période, jusqu’à l’instauration du Nouveau Roman au XXIème siècle.

«L’incipit » de ce roman raconte l’amitié fraternelle entre un homme nommé Hrsus et un loup nommé Homo.

En qui cet incipit est-il surprenant? Dans un premier temps nous allons voir en quoi cet incipit informe est intrigue à la fois, pour ensuite se demander en quoi cet incipit est à la fois ironique et poétique . Cet incipit informe est intrigue à la fois par l’utilisation de deux mouvements. Premièrement, dans la découpe de l’amorce une synestésie reprend un même groupe de mot se qui informe sur la distinction entre l’homme et le loup par leurs prénoms respectifs, « Ursus était un homme » (ligne 1) avec « Homo était un loup » (lignes 1 et 2).

Ensuite, le champ lexical de la localisation, « foires » (ligne 5) « fêtes » « rues » (ligne 6), renseigne sur les lieux d’exercice de cette « association de cet homme et loup » (ligne 5).

De plus, l’accumulation donne des indications sur les lieux précis ou ils se déplacent, « Ursus et Homo allaient de carrefour en carrefour, des places publiques d’Aberystwith aux places places publiques de Yeddburg, de pays en pays, de comté en comté, de ville en ville.

» (lignes 12,13 et 14).

D'ailleurs, les répétitions créés un sentiment de rapidité lors de leurs déplacements, « carrefour en carrefour » (ligne 12), « places publiques » (ligne 12) avec « places publiques » (ligne 13), « de pays en pays » (ligne 13), « de comté en comté » (ligne 13 et 14), et pour finir « de villes en villes » (ligne 14).

En effet, la litote renforce cette rapidité « Un marché épuisé, ils passaient à l’autre.

» (ligne 14).

Ensuite, la présence d’une nouvelle accumulation précise la qualité de vie médiocre que Homo et Hrsus possèdent ,« Ils campaient l’aventure dans une friche, dans une clairière, dans la patte d’oie d’un entrecroisement de routes, à l’entrée des hameaux, aux portes des bourgs, dans les halles, dans les mails publics, sur la lisière des parcs, sur les parvis d’églises.

» (lignes 19,20,21 et 22).

Pour finir, la description finale de l’homme permet de ce rendre compte plus en profondeur de cette condition de vie, « Ursus était un misanthrope, et, pour souligner sa misantrophopie (…) il imitait les voix à croire entendre les personnes » (lignes 31 à 37).

En effet, le champ lexical des métiers « médecin » « ventriloque » (ligne 34) ,mit en-avant par les fatalités de la vie « car l’estomac impose ses conditions » (ligne 33), renvoie à leurs conditions de vie.

Ce premier mouvement informe par de nombreuses descriptions et accumulations qui mettent en avant le rythme et les conditions de vie de Homo et Hrsus . Secondement, dans la première partie de l’amorce Homo et Hrsus par la personnification sont mit au même niveau, « était liés d’une amitié. »

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