Databac

HGGSP thème 4 - Patrimoine

Publié le 18/05/2025

Extrait du document

« Thème 4- Identifier, protéger et valoriser le patrimoine : enjeux géopolitiques Renaissance(15eme jusqu’au 16eme) provient terme italien, avant on signe pas les œuvres, a partir renaissance oui. Paliumpseste ??quand on creuse y’a des vestiges= Rome 1537 = guerre religion christianisme protestantisme , role de marie, indulgences = somme considérables,pr les riches italiens qui faisaient nimp, payait pr se racheter, effacer ses péchés.

Martin Luther s’oppose a ca.

Arméé de protestant qui arrive all et fonce sur Rome, Rome rasée , Rome détruit 80% des oeuvres de renaissance détruite par les protestants. Iconoclaste= pas d’icône. Haut de forme, chapeau fin 19e époque contemporaine à l’époque europeen on pris du patrimoine égyptien dcp c dans des musées à Londres et paris.

Aujourd’hui Égypte réclame ce patrimoine car ca lui appartiens. Thomas Piketty : économiste, travail sur les inégalités de revenus et de patrimoine,il explique que les pauvres s'appauvrissent et les riches s’enrichissent. Introduction: Le patrimoine est formé d’éléments transmis entre générations et identifiés comme porteurs d’une valeur particulière, qu'elle soit monétaire ou symbolique.

D’abord formé au sein de la communauté nationale ou internationale. Considéré à la fois comme propriété et symbole identitaire, d'un groupe, d'un peuple ou d’un pays, le patrimoine peut susciter des tensions à différentes échelles. Quels sont les enjeux du patrimoine aujourd’hui? Une première définition : Étymologiquement.

le terme désigne ce qui est hérité du père (patrimonium).

Il faut attendre les années 1970 pour voir apparaître l'idée que des biens communs à tous doivent être transmis aux générations futures du fait de leur valeur.

[...] Cette conception commande des mesures spécifiques de protection faisant du même coup de l'ancienneté un gage d'authenticité. « Patrimoine », geoconfluences.ens-lyon.fr voir lien suivant : http://geoconfluences.ens-lyon.fr/glossaire/patrimoine I-Construction et élargissement de la notion de Patrimoine 1.

Du patrimoine familial... Le mot patrimoine vient de patrimonium, «l'héritage du père», et se définit comme l'ensemble des biens hérités de ses ascendants.

Ces biens peuvent être matériels et transmis à la mort d'un ascendant ou immatériels et transmis par celui-ci au cours de la vie d'un individu. La transmission du patrimoine s’inscrit dans un cadre légal, comme le code de Gortyne ou le Code civil.

En France, un individu peut écrire un testament avant sa mort pour préparer la division de son patrimoine tout en respectant la loi.

A la mort de leurs aïeux, les descendants créent du patrimoine, distinguant certains biens qu’ils décident de conserver et de transmettre.

La transmission du patrimoine peut être l’objet de tensions et conduire des familles à se déchirer devant des tribunaux. Les usages du patrimoine reflètent le fonctionnement d'une société.

L’économiste Thomas Piketty montre que le patrimoine accentue les inégalités sociales.

Il propose donc de repenser la transmission du patrimoine afin de créer l’égalité dans la société française. 2.

...

au patrimoine collectif, national et international La découverte de monuments antiques, comme celle de nouveaux territoires par les Européens à partir du XVe siècle, leur permet de prendre conscience de la nécessité de protéger des biens exceptionnels. Cela conduit au développement de cabinets de curiosité conservant des collections d'objets rares issus du monde entier.

Ce patrimoine est préservé par une élite. À la fin du XVIIe siècle, des populations en Europe se mobilisent contre la destruction de monuments, car elles considèrent qu'ils témoignent de l'identité de la nation à travers une valeur esthétique ou historique.

C'est la naissance d'un patrimoine collectif et national, accessible à tous et protégé par l'État et la société. La notion de patrimoine s'élargit au XXe siècle pour devenir synonyme de biens culturels à protéger, et se diffuse dans le monde.

La Convention pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel de l'Unesco en 1972 propose de mobiliser la communauté internationale pour protéger et valoriser des biens culturels et naturels.

La conscience de partager un patrimoine commun doit participer à la paix dans le monde. 3.

Le patrimoine mondial de l'Unesco En 2022, la liste du patrimoine mondial de l'Unesco compte 1 154 (1 121 en 2019) biens matériels culturels et naturels, et 508 biens immatériels, dispersés dans 167 États sur les 193 ayant signé la Convention de 1972.

Extrêmement varié, ce patrimoine suppose une protection et une mise en valeur des biens.

L'inscription sur la liste provoque une attractivité croissante des biens inscrits, car elle est compromise comme un gage d’authenticité et d’ exceptionnalité. Toutefois, des tensions liées à la gestion peuvent naître.

L’attractivité croissante d'un site induit le développement d'infrastructures d'accueil qui peuvent participer à le dénaturer et à créer des tensions entre l'échelle mondiale et celle locale, comme à Venise.

Des tensions géopolitiques peuvent naître, liées à la concurrence des États pour avoir le plus grand nombre de biens reconnus ou quant à l'inscription d'un site sur la liste, comme pour Hébron en 2017. EL SIBLO; GOMERA - diversité des expressions culturels. Axe 1 - Usages sociaux et politiques du patrimoine Jalon 1 - Versailles : réaménager la mémoire : les usages de Versailles de l’Empire à nos jours. Le domaine de Versailles occupe une place à part dans le patrimoine français, depuis la transformation, voulue par Louis XIV, d'un relais de chasse en somptueuse résidence royale. La dispersion du mobilier pendant la Révolution française et l'abandon temporaire du domaine ont laissé place progressivement à une réhabilitation, qui a accompagné les événements historiques et politiques. Le roi Louis Philippe y installe en 1837 le musée national de l'Histoire de France, qui honore les victoires françaises dans la galerie des batailles.

En 1871, la victoire de la Prusse ouvre un autre chapitre: occupé par l'armée et l'empereur, le château symbolise alors la défaite française, alors que l'Allemagne proclame l'empire dans la galerie des Glaces.

Les affrontements de la Commune à Paris donnent ensuite au château une fonction de politique intérieure: les chambres du Parlement s'y installent.

En 1919, il est le lieu de signature du traité qui entérine la fin de la 1ere GM. Versailles garde une vocation politique sous les IIIe, IVe et Ve Républiques, lorsqu'il reçoit les séances du Congrès du Parlement (réunions de l'Assemblée nationale et du Sénat) pour une révision constitutionnelle ou une déclaration du président de la République. Ainsi, le château abrite des temps forts de l'histoire européenne et nationale des XIXe et XXe siècles, cumulant des fonctions politiques et touristiques.

À la fin du XXe siècle, son « remeublement », la massification touristique et l’entrée au patrimoine mondial de l'Unesco achèvent d'en faire un fleuron du patrimoine français, qui reste un atout politique pour le pouvoir en place (réception de chefs d’Etat, sommets, déclarations du Président). Enjeu politique : 1) Les usages politiques de Versailles Les fonctions politiques et historiques qui se sont exercées ou s'exercent à Versailles sont nombreuses : musée d'histoire, lieu de réception, de signature de traités, et de la vie parlementaire; Depuis la Révolution française, Versailles a été le théâtre d'événements liés à l'histoire de France, comme les guerres et les républiques successives. 2) Versailles un atout pour l'influence culturelle française Le rayonnement du domaine de Versailles est un atout de la politique intérieure car il offre un lieu de prestige de la culture française sous de multiples formes et à un public large. C'est aussi un outil de rayonnement international car il permet de recevoir des visiteurs étrangers, des touristes aux chefs d'Etats, et d'organiser des sommets internationaux. Jalon 2 - conflits de patrimoine : les frises du Parthénon depuis le XIXème siècle. Naos = partie la plus sacré dun temple , on la retrouve ds plusieurs temples provient de grecques. PHIDIAS = peut être lui qui a réalisé la frise au parthénon trésor = partie ou y’a les richesses autour frises qui entour le truc Musée pour prouver que on acquérit des objets et des colonies, domination, sentiment de supériorité insularité En 1801, alors que la Grèce est sous la domination de l’Empire ottoman, le Britanniques Lord Elgin obtient par traité l’autorisation de mener des fouilles archéologiques sur l’Acropole d’Athènes.

L’année suivante, il fait transporter vers Londres une grande partie de la frise des Panathénées et d’autres marbres sculptés du Panthéon.

Acquis par l’Etat pour être exposés au British Museum, les marbres dits d’Elgin deviennent l’objet d’un conflit patrimonial encore en cours.

La Grèce multiplie en vain les recours pour la restitution des marbres , et inaugure en 2009 un nouveau musée de l’Acropole qui prévoit l’emplacement des marbres restitués. En 2017, l’Union Européenne a débouté la Grèce et les gouvernement de Boris Johnson (2019), qui semble prêt a des négociations, propose une itinérance des marbres, considérés come patrimoine mondial.

Ainsi, l’hypothèse d’un retour des marbres à Athènes n’est toujours pas d’actualités. Ce conflit illustre la valeur identitaire de certains biens culturels, et un débat comparable est en cours sur les collections d’arts africains des musées parisiens ou new-yorkais.

Le label « patrimoine mondial » ou l’acquisition régulière pour le droit de l'époque justifient-ils que les oeuvres soient définitivement séparées des pays d’origine ? Les anciennes puissances coloniales (France, Royaume-Uni, Allemagne) et économiques (États-Unis) font valoir leur expertise en matière de conservation.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles