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Henri III par lui-même« Je sais, dit le monarque, qu'il y a beaucoup de gens de bien en ma ville de Paris et que, dès quatre parts, les trois sont de ce nombre, qui sont bien marris de ce qui est arrivé.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Henri III par lui-même« Je sais, dit le monarque, qu'il y a beaucoup de gens de bien en ma ville de Paris et que, dès quatre parts, les trois sont de ce nombre, qui sont bien marris de ce qui est arrivé. Ce document contient 257 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« Henri III par lui-même « Je sais, dit le monarque, qu'il y a beaucoup de gens de bien en ma ville de Paris et que, dès quatre parts, les trois sont de ce nombre, qui sont bien marris de ce qui est arrivé.

Qu'ils fassent donc que je sois content, qu'ils ne me contraignent pas d'user de la force que j'ai et que j'emploierai avec regret.

Vous savez que la patience irritée tourne en furie, et combien peut un roi offensé. J'emploierai tout mon pouvoir pour me venger, si l'on m'offense, et ne négligerai aucun moyen.

Je n'ai pas l'esprit vindicatif.

Mais je veux que l'on sache que j'ai du c œ ur et du courage autant qu'aucun de mes prédécesseurs.

Depuis que j'ai été appelé à la couronne par le décès du roi mon frère, je n'ai encore usé de rigueur et de sévérité envers personne, vous le savez et vous en pouvez témoigner.

Toutefois je ne veux pas que l'on abuse de ma douceur et de ma clémence.

Je ne suis pas usurpateur.

Je suis roi légitime, par succession, et d'une race qui a toujours commandé doucement. C'est un conte que de venir me parler de religion ; il faut prendre un autre chemin.

Il n'y a au monde prince plus catholique ni qui désire l'extirpation de l'hérésie plus que moi.

Mes actions et ma vie l'ont assez témoigné à mon peuple.

Je voudrais qu'il m'en eût coûté un bras et que le dernier des hérétiques fût en peinture dans cette chambre.

» (Propos tenus par le roi aux députés).. »

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