Databac

grand oral nsi: : Comment partager des biens culturels en ligne ?

Publié le 21/06/2022

Extrait du document

« Introduction J’ai décidé de ne plus lire ! En effet, pourquoi ne pas me conformer à ce lieucommun selon lequel, aujourd’hui, les nouvelles générations ne lisent quasiment plus et se contentent de regarder des films qu’elles se procurent bien trop souvent illégalement ? Mais, moi, j’aime lire et je veux partager ce plaisir, mais aussi celui que j’ai à écouter de la musique ou à regarder des films.

C’est dans ce contexte que nous avons conçu, avec deux camarades, le projet d’une médiathèque participative dans le cadre de la spécialité NSI.

Je vais donc vous décrire notre projet nommé « In your pocket », comment nous l’avons réalisé, et les ouvertures que ce travail a mis en évidence. Aujourd’hui il est possible de trouver de nombreux films disponibles en ligne, ce qui favorise leur diffusion illégale.

Il en est de même pour les livres et les musiques.

Ces biens culturels représentent un budget qu’une grande partie de la population ne souhaite ou ne peut pas dépenser.

Cela entraîne donc le développement de sites qui proposent la diffusion ou le téléchargement illégal d’œuvres artistiques, ce qui ne favorise pas les petits réalisateurs et ne permet pas de rémunérer les auteurs et les musiciens. L’acte d’acheter un bien culturel, c’est aussi le plaisir futur de le partager avec les autres, de faire découvrir une rareté, de posséder un objet matériel. C’est pour cela que je suis posé cette question : Comment partager des biens culturels en ligne ? C’est dans ce contexte que j’ai conçu, le projet imaginaire d’une médiathèque participative dans le cadre de la spécialité NSI.

C’est cette perspective de partage que je veux cultiver en créant une médiathèque alimentée et enrichie par ses utilisateurs.

Ce projet fictif devait répondre à cette demande : trouver dans son voisinage quelqu’un qui possède le livre, l’album, le film que les autres utilisateurs souhaitent lire, écouter ou regarder.

En termes pratiques cela implique qu’un usager puisse rentrer dans une base de données tous les livres et les films qu’il veut prêter, via le réseau Internet avec certains attributs ou critères comme l’auteur ; le réalisateur ; l’artiste, le titre, la date de parution et le genre. Partie 3.

Solution • Pour vous décrire la solution que j’ai mis en œuvre, je vais aborder l’aspect technique, et je vous invite à vous aider du support que j’ai dessiné à votre attention, pour mieux suivre. • L’architecture de notre système est assez classique et utilise des outils que nous avons appris à mieux connaître au cours des deux années de spécialité NSI. Tout d’abord l’IHM (acronyme de Interface Homme Machine) autrement dit l’affichage, a été écrit en HTML5, qui est le langage normalisé des pages Web que nous consultons tous chaque jour.

L’apparence des pages, c’est à dire leur style, est décrit dans un fichier séparé au format CSS.

Cette interface va vous permettre, si vous êtes emprunteur, de consulter une base de données installée sur un serveur informatique qui a été mis à notre disposition.

Via cette même. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles