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Grand oral du bac : LES GRANDS MONUMENTS

Publié le 18/05/2020

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« Arts et Culture LES GRANDS [MONUMENTS[ Tout au long de l'Histoire, les hommes n'ont cessé d'édifier divers types de monuments, dont le but était, et est toujours, de perpétuer le souvenir de personnalités ou d'événements.

B ien que nous utilisions parfois le terme de monument pour faire référence à un édi­ fice remarquable par sa beauté, le sens exact de ce mot est «œuvre exécutée pour com­ mémorer un individu ou un événement».

Les tombeaux en constituent vraisemblable­ ment la plus ancienne forme: parmi les premiers ouvrages connus d'architecture, certains ont été édifiés afin d'abriter les dépouilles des défunts.

C'est notamment le cas des pyramid� et d'autres édifices monumentaux construits en Egypte sous les pharaons.

Vers 2660 av.

J.-C., Imhotep, architecte et mi­ nistre du pharaon Djoser, a été le premier à concevoir des édifices en pierre et à créer des monuments funéraires aux proportions gigan­ tesques.

C'est à cette époque qu'a été construite la première pyramide en l'honneur du pharaon Snefrou.

Durant plus de deux millénaires les Égyptiens ont continué à bâtir des pyramides, des tombeaux royaux ainsi que des monuments funéraires.

Ces édifices, demeures éternelles des souverains défunts, célébraient leur immense pouvoir terrestre et perpétuaient leur souvenir .

' Les quatre statues colossales de Ramsès Il, à l'entrée du temple d'Abou-Simbel, ont été surélevées en 1968 afin d'éviter qu'elles soient englouties sous les eaux du lac Nasser, formé à la suite de la construction du barrage d'Assouan.

C'est grâce à eux que nous connaissons aujour­ d'hui le nom et l'histoire des pharaons d'Ég ypte.

Les pharaons et leurs épouses étaient considé­ rés comme des dieux, ce qui a très largement influencé l'architecture des temples: ainsi des pylones marquaient l'entrée du sanctuaire et débouchaient sur une imposante cour bordée de colonnades ainsi que sur une salle hypostyle (c'est-à-dire au toit plat et à la nef centrale entou­ rée de colonnes) dans laquelle se trouvait le temple à proprement parler.

Autre monument ori- •••m;nt{iH L'art grec et romain p.

267 Michel-Ange p.

2553 Le patrimoine mondial p.

3035 Les pyramides p.

3433 La Renaissance italienne p.

3543 tour Eiffel p.

4159 ! Le Sphinx de Gizeh, datant du 1/f millénaire A avant notre ère, serait le portrait du roi Khéphren (vers 2550 av.

J.-C.).

ginai de l'architecture égyptienne, l'obélisque.

Il s'agit d'une pierre levée, de forme_ rectangulaire, se terminant par un pyramidion.

A Paris, un obé­ lisque se dresse au centre de la place de la Conc�rde.

Offert au roi Louis-Philippe par le vice­ roi d'Egypte, Méhémet-Ali, c'est le plus ancien monument de la capitale.

Datant de 1250 av.

J.-C.

environ, il ornait l'entrée du palais de Ramsès Ill, à Louxor.

Ce bloc de granit rose de 250 tonnes est gravé de hiéroglyphes retraçant les règnes de Ramsès Il et de Ramsès Ill.

Les arcs romains En 30 av.

J.-C., l'Égypte a été conquise par les Romains, qui ont développé leur propre architec­ ture.

Sans cesser d'ériger tombeaux et temples en l'honneur des morts (temple de Quirinus à Rome, constru it en souvenir de Jules César, par exemple), les Romains ont promu une autre forme de monument: l'arc de triomphe, célébrant les victoires militaires des généraux et des empe­ reurs, mais rappelant également aux peuples conquis la puissance de l'Empire romain.

Même si de nombreux arcs subsistent aujourd'hui , ils ont souvent perdu les sculptures massives, représen­ tant chars et chevaux, dont ils étaient générale­ ment surmontés.

Ils étaient soit uniques soit triples, avec, au centre, une arcade large et haute, sous laquelle passaient les véhicules, et, sur les côtés, deux autres, plus étroites et plus basses, réservées au passage des piétons.

Ces arcs sur­ plombaient le plus souvent une route importante.

À Rome, les arcs les plus célèbres sont ceux de Titus (81 apr.

J.-C.) et de Septime Sévère (203 11: UJ N. »

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