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Grand oral du bac : GEORGE ORWELL

Publié le 18/05/2020

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« Arts et Culture C'est à /a fin des années 1940 que George Orwell révèle la singularité de son inspiration.

Son œuvre, l'une des plus marquantes du siècle, démontre, outre son remarquable talent de romancier, une conscience lucide des problèmes sociaux et un sens aigu de l'analyse politique.

L es deux plus célèbres œuvres de George Orwell sont ln ferme des animaux (1945) et 1984 (1949).

Ce sont des allégories politiques dans lesquelles l'auteur a mis le poids de son expérience de la vie, de la bureaucratie et de son observation de la situation politique internatio­ nale.

Malgré son immense renommée, Orwell a toujours pratiqué J'autodérision et souligné son inadaptation au monde : n'a-t-il pas prétendu que chacun de ses livres était pour lui un échec ? I§.Uf!i{{ii Les dictatures p.

1133 Hitler et /e nazisme p.

7857 Le roman anglais p.

3679 La science-fiction p.

3815 Le socialisme p.

3875 ......

Un extrait de l'adaptation cinématographique de 1984 par Michael Radford: un homme se bat pour sa liberté dans une société totalitaire dominée par un dictateur nommé Big Brother.

George Orwell, pseudonyme littéraire d'Eric Arthur Blair, est né à Motihari, en Inde, le 25 juin 1903.

Ida Limouzin, sa mère, est d'ascendance franco-anglaise.

Elle s'installe en Angleterre, alors que son fils n'a qu'un an, abandonnant son mari, Richard, à ses fonctions de serviteur de Sa Majesté dans les services de contrôle de J'opium: Orwell n'a revu son père qu'une seule fois au cours des sept années suivantes.

Une scolarité décevante Ida veut donner à son fils une bonne éducation.

Elle J'envoie d'abord à Saint-Cyprian, une école privée d'Eastbourne, dans le sud de l'Angleterre.

Le petit George y reste de huit à treize ans.

Mais il est loin de s'y plaire.

L'enseignement des direc­ teurs, M.

et Mm• Wilkes; s'y révèle par trop autori­ taire et les châtiments physiques, un peu trop répétitifs.

En outre, il prend conscience de J'im­ portance des différences sociales, que ses cama­ rades ne se privent pas de lui faire sentir, à lui qui ne règle que la moitié de ses frais de scolarité.

Orwell est revenu sur cette période dans un texte posthume, Les garçons étaient ainsi: il y évoque sa haine de Saint-Cyprian et des Wilkes «un couple de personnages sots, étroits et incompé­ tents, uniquement préoccupés d'escalader une échelle sociale dont tout esprit censé s'aperce­ vrait qu'elle est sur le point de s'effondre r>>.

En 1917, Orwell obtient une bourse à Eton.

li apprécie J'atmosphère du prestigieux collège, il se sent libéré, plus indépendant.

Il se fait des amis.

Surtout, il découvre de nouvelles idées poli­ tiques: le libéralisme, le socialisme, qui forment la sève de sa pensée.

Pourtant, ses résultats scolaires sont modestes: en 1920, il est classé 117' sur 140 élèves.

li avoue lui-même qu'il ne fait guère d'ef­ fort pour améliorer sa position.

La Birmanie Dans ces conditions, inutile d'escompter une bourse d'université: son père estime qu'il vaudrait mieux, comme lui, servir J'Empire.

En 1921, Geor­ ge Orwell s'engage donc dans la police indienne impériale qui officie en Birmanie.

Il résiste pen­ dant cinq ans au difficile climat de la mousson; mais également à l'hostilité des Birmans, qui doi­ vent subir le joug de J'au�orité britannique, et à sa mauvaise conscience.

A J'issue de ce séjour , il estime qu'il n'a effectué qu'un «sale travail » et décide dès lors, de se désolidariser du colonialis­ me sous toutes ses formes et de tout système d'ex­ ploitation de l'homme.

D'autant qu'il désire plus que tout se consacrer à la littérature.

Une voca- ......

George Orwell, dans sa demeure d'lslington, peu de temps après la disparition d'Eileen, sa première épouse morte d'une crise cardiaque au cours d'une opération.. »

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