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Georges Feydau: Le Dindon

Publié le 14/06/2021

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« Georges Feydeau : Le Dindon Introduction : Le Dindon est une pièce en trois actes et en prose, imaginée et écrite par Georges Feydeau (1862-1921).

Elle est mise en scène et représentée pour la première fois à Paris le 8 février 1896, au théâtre du Palais Royal.

Ce n'est qu'en 1949 que la pièce est publiée en volume dans le tome II du Théâtre complet aux éditions du Bélier.

C’est une pièce comiques, un vaudeville dans lequel des personnages veulent tromper leurs conjoints mais n’y arrivent pas à cause de leur maladresse ce qui devient ridicules. Mouvement 1 : (de «Lucienne : Prenez garde, monsieur ! » à « Lucienne : Crépin !...) La jeune femme porte des menaces envers l’homme.

Mouvement 2 : (du début de la scène deux à « vous deviez bien vous attendre à m’y trouver.

».) Coup de théâtre ; les deux hommes se connaissent.

Mouvement 3 : (de « Pontagnac : hein ?...

non… je veux dire » jusqu’à la fin ) Pontagnac est perdu il vient même à supplier de l’aide à Lucienne. Mouvement 1 La jeune femme porte des menaces envers l’homme : Lucienne menace d’appeler son mari et donne conseil à Pontagnac de partir en utilisant l’impératif « prenez garde monsieur !», le point d’exclamation permet d’acentuer le ton que la femme utilise.

Lucienne pensait que dire qu’elle avait un mari suffirait pour faire fuir l’homme, seulement celui-ci s’en moque et utilise même un mot familier pour parler du mari de la femme en le nomment d’ « imbécile ».

Leurs discussions et un dialogue de sourd Pontagnac n’écoute pas ce que dit Lucienne et ne prend pas en compte ses paroles ce qui la stupéfait. « Les maris des femmes qui nous plaisent sont toujours des imbéciles » est une sorte de morale qui pourrait se retrouver dans des fables de La Fontaine.

Lucienne apprendra plus tard que l’homme est marié et qu’il a déjà trompé sa femme, on peut en déduire que Pontagnac est un homme égoïste qui ne pense qu’à son intérêt.

« Remontant » on trouve l’apparition de didascalies (précision sur les gestes et les actions dans le pièces de théâtre), cette action montre que Lucienne est outré des propos de l’homme et s’éloigne de celui-ci.

Lucienne re demande à l’homme si il est sur de vouloir rester et donc de finir par confronter le mari de Lucienne.

« Vous allez voir », apparition du futur proche, utilisé pour exprimer une action qui va se dérouler dans un avenir très proche.

Pontagnac répond à Lucienne en utilisant une hyperbole « moins que jamais » cela montre sa détermination de ne pas partir.

« Appelant à droite » Lucienne s’apprête à. »

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